Chantal Cutajar

Présidente CAP21-Le Rassemblement Citoyen

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Maître de conférences Directrice du GRASCO – Université de Strasbourg
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  • Ukraine : la paix ne peut être un marché de puissances

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    Alors que Donald Trump tente de s’ériger en médiateur entre Moscou et Kyiv, les dirigeants européens rappellent leurs lignes rouges : souveraineté de l’Ukraine, intangibilité de ses frontières, garanties de sécurité irrévocables. Mais la paix ne peut être réduite à un marché entre grandes puissances. Elle doit être construite avec l’Ukraine, dans le respect du droit, de la justice et de la dignité des peuples.
  • Loi Duplomb : l’arbre qui cache la forêt

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    Le Conseil constitutionnel a censuré la réintroduction des néonicotinoïdes. C’est une bonne nouvelle. Mais ce n’est pas une victoire.
  • Face à Washington, l’Europe capitule. Et la France se tait

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    L’accord commercial signé fin juillet entre l’Union européenne et les États-Unis n’est pas une victoire. C’est une reddition. Conclu dans la précipitation, sous pression politique, il engage l’Europe sur la voie de la dépendance stratégique et énergétique, sans contreparties dignes de ce nom. La France, qui aurait pu tracer une autre voie, est restée silencieuse au moment décisif.
  • Loi Duplomb : une démocratie court-circuitée, un Président interpellé

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    Adoptée à l’Assemblée nationale au terme d’un parcours parlementaire entaché de détournements procéduraux, la loi Duplomb est désormais entre les mains du Conseil constitutionnel. Mais c’est aussi devant l’opinion publique qu’elle est massivement rejetée. Face à ce désaveu inédit, le Président de la République ne peut se contenter d’une promulgation automatique.
  • Répondre à la criminalité organisée sans renoncer à la démocratie

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    Face au narcotrafic et aux organisations criminelles qui sapent les fondements de l’État de droit, la réponse pénale doit être ferme. Mais la démocratie ne saurait s’effacer au nom de l’efficacité. La décision du Conseil constitutionnel du 12 juin trace les limites du droit d’exception, mais elle interroge plus profondément notre capacité collective à concilier sécurité, justice et libertés.