Ça serait bien que les médias traditionnels parlent d’autre chose que des souffrances qui seraient infligées à Sarkozy, innocent autoproclamé, au prétexte d’une « magistrature pleine de haine » ou bien de l’amour indéfectible que la chuchoteuse divette porte à son « Raymond » entaulé ce 21 octobre 2025 en compagnie des racailles qu’il dénonçait naguère, ce qui, au passage, me fait sourire.
La grande bourgeoise, dont l’aphonie dégénérative brise les burnes de nos oreilles fatiguées depuis des lustres, le sourire pincé, savoure son insignifiante et mesquine vengeance.
Sortir une vitole de l’humidor. La palper, la renifler. L’inquiétude qu’elle ne soit pas à la bonne hygrométrie, malgré tous les soins qu’ont lui a consacré, du choix à la civette à sa niche douillette de cèdre d’Espagne.
Je ne suis ni historien, ni intellectuel. Je suis un citoyen de base, simplement attentif à l’actualité et passionné d’histoire. Le conflit au Moyen-orient n’est pas récent. Il a commencé bien avant ma naissance. Ça fait 77 ans que ça dure.
Allez. Je me lance. Disons que depuis 41 ans nous avons un problème. Je date ça, à tort ou à raison, des élections européennes du 17 juin 1984. Depuis, le p’tit commerce familial Le Pen a fait son gras tranquillou jusqu’à tenir, désormais, un hypermarché.
Ça sent la rentrée. Ordinaire, avec son lot habituel de factures obèses, vue qu’elles ne sont pas abonnées à Comme j’aime, les bombes qui tombent un peu partout sauf sur nos tronches, du moins jusqu’à présent, le retour de Cyril Hanouna (mais est-il jamais vraiment parti?), les politiciens qui veulent nous convaincre que ça sera mieux demain sans nous garantir que ça sera moins pire qu’hier.
Les plus anciens se souviennent de la guerre des « deux amis de trente ans ». Les plus jeunes la découvriront dans ce billet. En 1986, Mitterrand est contraint à la cohabitation après la défaite de la Gauche aux législatives. Jacques Chirac, leader de l’opposition, devient premier ministre. Les deux hommes s’opposent à la tête de l’État.