Tous les vendredis, le blog du Collectif pour une Sécurité Sociale de la Mort publie, sous forme de feuilleton, les expressions d'agents – ou d'ex-agents funéraires. Nous commençons avec “Pompes sur mesure”, écrit par le metteur en scène et ancien maître de cérémonie Robert Valbon. Il introduit ici son rapport au deuil qui prend racine dans son histoire personnelle.
Jusqu'à la Toussaint, nous publions cinq portraits de personnalités ou de simples endeuillé·es, dont les histoires témoignent des enjeux d'un monde funéraire non marchand. Pour finir, Claire, privée du deuil de son père, militaire mort en intervention.
Jusqu'à la Toussaint, nous publions cinq portraits de personnalités ou de simples endeuillé·es, dont les histoires témoignent des enjeux d'un monde funéraire non marchand. Aujourd'hui, une ex directrice d'agence funéraire, Cynthia, qui s'interroge sur le devenir du cercueil en carton.
Jusqu'à la Toussaint, nous publions cinq portraits de personnalités ou de simples endeuillé·es, dont les histoires témoignent des enjeux d'un monde funéraire non marchand. Aujourd'hui, un jeune homme, Samir, qui perd sa mère et qui découvre des années après qu'il aurait pu bénéficier d'aides pour payer les obsèques.
Jusqu'à la Toussaint, nous publions cinq portraits de personnalités ou de simples endeuillé·es, dont les histoires témoignent des enjeux d'un monde funéraire non marchand. Aujourd'hui, une vieille dame, victime d'une arnaque à l'assurance obsèques, Colette R.
Jusqu'à la Toussaint, nous publions cinq portraits de personnalités ou de simples endeuillé·es, dont les histoires témoignent des enjeux d'un monde funéraire non marchand. Aujourd'hui, le maire écologiste de Mouans- Sartoux (06) André Aschieri.
Et si on rattachait les Pompes Funèbres à la sécurité sociale ?
Depuis la nuit des temps, la Danse macabre fait se rejoindre côte à côte dans la mort le seigneur et le paysan, le riche et le mendiant. Mais aujourd'hui, sommes-nous vraiment égaux face à la mort ?
Dans ce dernier épisode, nous présentons le fonctionnement socio-économique d'une sécurité sociale des obsèques et du deuil payée par les cotisation de chacun, gérée territorialement par des collèges d'agents et de citoyens. À nouveau, beaucoup d'éléments pour créer un tel système sont déjà en place et peuvent être étendus. À quand la Sécu de la mort ?
Pour sortir du capitalisme funéraire, nous pouvons nous appuyer sur des éléments existants, ce que l'économiste Bernard Friot appelle le déjà-là : le régime général de Sécurité Sociale, tel qu'il est créé en 1946 donne des pistes que nous pouvons étendre au monde des obsèques. Ce qui revient à poser une question simple : la mort a-t-elle vocation à être une source de profit ?
Comme n'importe quel secteur de l'économie de marché, le monde funéraire connaît bien des modes, tendances et innovations. Parmi celles-ci, la prévoyance obsèques, disputée aux assureurs et aux banques, est un des grands changements économiques et anthropologiques de notre époque. Mais pas seulement : on note aussi l'essor des coopératives et de la prise en compte des endeuillé-e-s...