Le totalitarisme n'a pas de couleur de peau et peut prendre des visages multiples. Au Cambodge, au Rwanda et maintenant en Chine, il faut condamner tous les génocides d’où qu’ils viennent.
Le gouvernement de Hong Kong a disqualifié quatre députés pro-démocratie le 11 novembre. La disqualification a alors déclenché une démission collective de tout le camp pro-démocratie. Accusé d'avoir violé la Loi fondamentale, le gouvernement de Hong Kong a interdit à 4 députés du LegCo de renouveler leur mandat pour un an jusqu'à la prochaine élection en 2021.
The Hong Kong government disqualified four pro-democracy MPs on 11 November. The disqualification then triggered a collective resignation of the entire pro-democracy camp. Accused of violating the Basic Law, the Hong Kong government barred 4 LegCo members from sitting the extended term until the next election in 2021.
Parasitising universities and institutions, the Confucius Institute (CI) is a threat to academic freedom, not to mention its role as a propaganda machine. It is not just an innocent place for learning Chinese, but an attempt to establish itself as the sole authority on Chinese studies.
The president of the University of Hong Kong (HKU) has appointed two of his cronies as vice-presidents. One of them allegedly being a Chinese Communist Party (CCP) member, they will undermine academic freedom in Hong Kong.
Le président de l'Université de Hong Kong (HKU) a nommé deux de ses copains vice-présidents. L'un d'eux étant prétendument membre du Parti communiste chinois (PCC), ils porteront atteinte à la liberté académique à Hong Kong.
Given their subtle bonds to their ancestral country and their struggles in their "host" country, overseas Chinese are vulnerable targets and can easily fall victims to the CCP nationalist propaganda machine.
Etant donné leurs liens subtils avec leur pays ancestral et de leurs luttes dans leur pays « hôte », les Chinois d'outre-mer sont des cibles vulnérables et peuvent facilement être victimes de la machine de propagande nationaliste du PCC.
Douze Hongkongais ont été arrêtées par la Garde côtière chinoise lors de leur fuite par bateau à Taïwan. Ils avaient tous été précédemment arrêtés à cause des protestations contre le projet de loi d'extradition depuis juin 2019. Face au pouvoir judiciaire partial, ils voulaient demander l'asile à Taïwan, la démocratie la plus proche de Hongkong.