Impossible de dire, d'écrire, d'imaginer même qu'E.Plenel puisse mentir. Donc, lorsqu'il va sur BFM pour survendre une "révélation" de son journal, pour le lendemain matin, il ne consulte même pas la doc' de celui-ci..." Nous allons demain révéler un nouveau personnage de l'affaire Benalla. Il n'a JAMAIS ÉTÉ CITÉ" déclare--t-il. RATÉ ! Lisez ci-dessous...
Mediapart 8/03/19 : « Face à des journalistes fin janvier, Emmanuel Macron évoquait « 40 000 à 50 000 militants ultras » à l’origine de l’embrasement des manifestations des « gilets jaunes » (...) Problème : au même moment, ses propres services de renseignement dressaient un constat exactement inverse. L’ultradroite et l’ultragauche seraient « quasi inexistantes au sein des cortèges ».
Comme le disait ce samedi soir le présentateur d'une émission télévisée : y a pas que Mediapart dans la vie. Valeurs Actuelles et surtout Libération ont aussi fait pas mal de révélations récemment. C'est ce dernier titre qui a livré les noms de deux autres " connaissances" de Benalla. Et non des moindres ! Quatre jours après la parution de ces nouveaux éléments, toujours rien dans Mediapart...
Comme le disait ce samedi soir le présentateur d'une émission télévisée : y a pas que Mediapart dans la vie. Valeurs Actuelles et surtout Libération ont aussi fait pas mal de révélations récemment. C'est ce dernier titre qui a livré les noms de deux autres " connaissances" de Benalla. Et non des moindres ! Quatre jours après la parution de ces nouveaux éléments, toujours rien dans Mediapart...
Bien sûr qu’il faut dénoncer la tentative de « perquisition sauvage » à Mediapart ! On peut cependant être très critique sur sa « collaboration » avec des juges auxquels ont été remis des enregistrements. Leur contenu est décrit comme pouvant être incriminant pour MM Benalla et Crase. Est-ce le rôle de journalistes d’aider à (peut-être) les envoyer en détention préventive ? Fussent ces deux-là ?
La tentative de perquisition entreprise par le parquet de Paris dans les locaux de Mediapart a suscité bien des commentaires, voire un début de débat. Légale ou pas ? Telle était la question. Les décodeurs du Monde ont répondu mardi 5 février 2019...
Mediapart a remis lundi après-midi à la justice sept éléments sonores de l'enregistrement d'une conversation entre Alexandre Benalla et Vincent Crase. Six avaient été mis en ligne jeudi 31 janvier 2019. Le dernier l'a été mardi matin. Les juges ont donc eu droit la veille à un élément qui n'avait pas encore été publié...
Mediapart refuse une perquisition après la divulgation de l'enregistrement d'une conversation entre A.Benazlla et V. Crase. Fort bien ! Mais, dans le même temps, les journalistes du site, acceptent de fournir les dits éléments sonores aux juges chargés de l'instruction de l'affaire du 1er mai... Cette façon de réagir à "géométrie variable" peut poser question...
Quand le « facilitateur » de l’entretien d’A. Benalla au Monde passait les messages pour un voyou cité dans l’enquête sur l’assassinat du juge lyonnais Renaud. Journaliste et petit télégraphiste
Emmanuel Macron n'oubliera pas que certains aient réussi à avoir la peau de son protégé Alexandre Benalla. Il y a fort à parier que la rentrée sera tendue dans la police, à la sécurité de l'Elysée, à la PP. un grand coup de balai est envisageable... Récapitulons l'" affaire Benalla"...