« C'est la faute à l'Allemagne », lance Alain Minc, sûr de lui, comme chaque fois qu'il ouvre le bec, y compris pour ânonner des bêtises, « Berlin a torpillé l'idée d'un plan de sauvetage européen des banques », éditorialise « Le Monde » qui change sans cesse de direction sans trouver le bon cap.
Dans une crise financière, les seuls critères qui importent pour juger de réussite ou d'échec de décisions politiques se trouvent sur les marchés. Ces marchés qui se sont trop pris pour des temples!
Pourquoi voyage-t-on? "Un rapport d'incandescence avec le monde"Par Daniel RIOTQuel souffle ; ce Le Bris ! L'air du grand large. La transcendance des rivages. La soif d'un ailleurs et d'un au-delà. L'énergie de ceux qui ne se laissent pas borner par les lignes d'horizons.
La « fin d'un monde» a lancé Sarkozy à Toulon. « Le Commencement d'un monde » a écrit Jean-Claude Guillebaud sans attendre qu'une crise financière explose pour décrypter des évolutions en profondeurs masquées par la doxa néo-conservatrice américaine, le règne de la géofinance, la dilution du « principe d'humanité », cet individualisme possessif de masse qui nous a fait manquer la chance historique qu'offrait voilà 20 ans l'implosion de l'Empire soviétique et qu'offre toujours des évolutions technologiques qui serviraient un progrès véritable si nous avions pris conscience à temps que bien des progressions sont des régressions
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