Son blog
13 abonnés
Le blog de Djohar Sidhoum-Rahal
- 4 billets
- 0 édition
- 0 article d'éditions
- 0 portfolio
- 0 lien
- 1 événement
- 1 favori
- 7 contacts
Ses billets de blog
Voir tous-
« Nul n’est censé ignorer la loi », sauf les députés qui la votent
Le droit est une affaire de mots et changer la constitution est une affaire de droit. Ça n’est pas une affaire de symbole, de serment, de promesse, de maroquins ou de trauma. Tous ces motifs intérieurs n’importent pas une fois le droit changé, la lettre de la loi seule reste. -
Déchéance votée. Et les fantômes furent créés. Et les camps furent ouverts. Et je perdis mon pays.
La mise en cause droit du sang dans l'article 2 voté par l'Assemblée nationale cette nuit, couplé à sa loi d'application visant, de fait, les binationaux est une révolution inédite, exception faite du droit colonial. Lettre à Madame Guigou qui déclarait dans l'hémicycle ne pas vouloir viser les nés Français par filiation et qui vote tout de même cet article. -
La déchéance de nationalité ou les bricoleurs contre 1789, qui protégera notre héritage ?
Face au bricolage gouvernemental présent et à venir, la clarification du caractère supérieur de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 s'impose. Qui aurait cru que nous en arriverions là ? Comment se prémunir face aux contradictions injectées au coeur du texte constitutionnel ? Prendre acte de l'absence de vergogne de ce gouvernement ne suffit pas : il faut agir. -
Déchéance de connaissances: poursuivez vos efforts!
L'énième revers du gouvernement sur la déchéance de nationalité continue de poser de graves problèmes : quelques éclairages juridiques sur les conséquences concrètes de la dernière proposition d'amendement faite, par le Premier Ministre, devant la commission des lois.
Ses évènements
Voir tous-
le 1 février 2016
L'arsenal du juriste, autour du projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation
Protéger la Nation ? Autour du projet de loi constitutionnelle de protection de la Nation. Discutants : Arié Alimi (avocat à la Cour), François Saint Bonnet (Professeur à l’Université Paris 2); Djohar Sidhoum Rahal (doctorante en droit EHESS/ Nanterre)