-
Francis Kalifat, le président du CRIF-Betar, a un point commun avec Jean-Marie Le Pen: il a un œil qui ne voit pas. De l’œil gauche, il dénonce l’antisémitisme, même la où il n’y en a pas. De l’œil droit, il a du mal à discerner les provocations anti-juives, même quand elles sautent au yeux. Ainsi observe-t-il l’omertà qui prévaut sur le grave dérapage de Gérald Darmanin.
-
À une semaine de la quatrième élection législative anticipée en deux ans, les Israéliens n’ont pas encore fait leur choix. Benyamin Netanyahou reste victime d’un très fort « degagisme », mais aucune alternative progressiste ne s’affirme. Israël va-t-il à nouveau confier son sort à un « birion » - un voyou ?
-
Pour le CRIF, qui ne cesse de culpabiliser les Français en les dépeignant comme un peuple antisémite et inconscient de l’être, surtout lorsqu'ils sont très à gauche, voilà un démenti cinglant. D’autant qu’il provient d’une enquête réalisée par Ipsos à… sa demande. N’en déplaise à Francis Kalifat, l'écrasante majorité de nos concitoyens est décidée à combattre fermement TOUS les racismes.
-
Hier, plusieurs jeunes associations, rejointes par des organisations de gauche, appelaient à un rassemblement pour le quinzième anniversaire de l’assassinat d’Ilan Halimi. Une journaliste de Mediapart était présente. Mon regard est plus critique que le sien. Un reportage, il est vrai, n'est pas une analyse.
-
Des associations étudiantes m’ayant demandé de présenter des conférences sur l’évolution de la politique états-unienne au Proche et Moyen-Orient, j’ai construit celle-ci comme un « work in progress » En voici le troisième état, approfondi et actualisé au 11 février 2021. Vos critiques - dont j’ai intégré plusieurs - me seront évidemment précieuses.
-
Hier, Haïm Vidal Sephiha, aurait eu 98 ans. Ses proches et ses amis se sont donc retrouvés pour un hommage amical à cet homme, qui, revenu d'Auschwitz et des Marches de la mort, sacrifia tout à sa « mission » : la renaissance de la langue et de la culture judéo-espagnoles. C'est ce père que j'ai redécouvert en dialoguant avec lui pour préparer notre livre, « Ma vie pour le judéo-espagnol ».
-
La crise sanitaire amplifie l’aspect protéiforme et cumulatif des inégalités, que nous avons voulu faire vivre dans « Portraits d'une France à deux vitesses » (L'Aube, 2020). Par-delà les analyses théoriques, nous les analysons à travers dix grandes thématiques: la santé, l'emploi, la mobilité, le logement, les vacances, l'éducation, la fiscalité, les seniors, l'alimentation et la culture.
-
BREAKING NEWS : Le masque est tombé. Le chargé d'affaires de l'ambassade d'Israël en France, Daniel Saada, a sciemment menti sur l’affaire des détenus palestiniens interdits de vaccin et donc scandaleusement diffamé Anthony Bellanger et France Inter.
-
Trois semaines après la victoire (douteuse) d'Iznogoud (Frédéric Rauch) sur le Calife (Francis Combes), la mobilisation ne faiblit pas pour la défense de l’éditeur Le Temps des Cerises. La pétition rassemble désormais plus de 800 signatures. La parole est au secrétaire du PCF et à celui de la CGT : car les acteurs de ce "hold-up" sont communistes et le "chef d'orchestre" une Fédération syndicale.
-
Dans une lettre à Laurence Bloch, la directrice de France Inter, Daniel Saada, chargé d'affaires de l'ambassade d'Israël , s'en prend à notre confère Anthony Bellanger. Son crime ? Avoir rapporté une information "abjecte" : l'instruction donnée au personnel pénitentiaire israélien par le ministre de la Sécurité intérieure de ne pas vacciner les prisonniers palestiniens contre la Covid.