Chroniques inutiles de la résistible ascension de Marine Oh Oui ! ("Oh oui" glissent-ils dans l'isoloir)

Tu sais (oh oui) qu’il en est des manies comme des maillots sur la plage,c’est en mode « mono » que ça devient vraiment rigolo.Rigolote, ma monomanie à moi ; rigolo le monokini de Carla…ô mon Empireur !

La fin de ton monde,ce serait bien possible, mon Empireur.La fin du capitalisme.Là, presque maintenant, presque tout de suite… dans de proches semaines.Peut-être le sais-tu déjà.Peut-être que les crampes ont déjà commencé, chez toi et chez tous les tiens.

Je t’écris, c’est vrai, cette fois pour une colère mineure.Une colère qui devrait être minusculeà côté des catastrophes qui se produisent en ce moment :

Le remaniement n'a pas trois jours, que déjà l'énorme nous arrive sur les genoux.

Je ne te comprends pas, Mon Empireur,C’est idiot.D’habitude, c’est limpide.Mais sur les retraites, je ne comprends pas.Terrain hyper-miné pour toi, et tu y vas quand même,Contre tout bon sens électoral,celui qui ne te faisait jamais défaut. Pouf pouf.Récapitulons :

Il ne manque pas de sujets (comme dans tout bon royaume)à aborder en ce moment avec toi, mon Nicolas.L'enfumage de la Burqa, l'inefficacité de la politique internationale de soutien à la Grêce,que sais-je, la censure de la lettre d'une déportée à Parthenay...