Ici les certitudes sont à la lisière.
Jamais portées en bandoulière, ni placées au centre.
Pour trouver sa route, il faut parfois accepter de se perdre.
Pas de scoop, rien de sensationnel.…
/>Pas d'abdication, non plus, devant le « trop-plein » de l'actualité.
Point de tyrannie de l'urgence.
Pas de complaisance pour ce qui est trivial.
Ici on prend son temps.
On interroge, on complique, on cherche.
Tous les moyens possibles doivent être mis en oeuvre.
La raison, bien entendu. Mais aussi le rire, la subversion.
Chacun vient avec ce qu'il est, ce qu'il a.
La seule exigence: que l'honnêteté soit au rendez-vous.
Et qu'on y trouve du plaisir.
Le lien qui fait penser, c'est ici.
Et tant mieux si cette pensée fait lien!
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Compliquons les intrigues
À propos de l'édition
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Édition Compliquons les intrigues
Ma France, tu la kiffes ou tu la quittes
Une adresse de Lotfi Bel Hadj, président de l'Observatoire économique des banlieues, à ceux qui voient au Quick halal ou sous le voile des «Français de trop». -
Édition Compliquons les intrigues
Oreste Eléa n'a pas vu «Un Prophète», mais...
Au début, j'ai cru que « Le Prophète » c'était un film qui parlait de Mahomet. Je me suis dit qu'en pleine tourmente sur l'identité nationale, ils étaient couillus les gens du cinoche d'avoir refilé neuf Césars à un film pareil. Un vrai défi à l'ordre moral. Avec même un espoir de médaille à Hollywood y paraît. Les Ricains vont pas s'en remettre. -
Édition Compliquons les intrigues
A l'Universel, nous nous devons !
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Édition Compliquons les intrigues
Au centime près
Américain à Paris, auteur et comédien de stand up, John von Sothen contribue régulièrement aux «GQ Magazine» américain et français. Il écrit également pour la télévision (Canal+, MTV). Il entre par la petite monnaie dans l'aventure Compliquons les intrigues. -
Édition Compliquons les intrigues
Une France en état de nerf
Ce sont deux hommes en colère. Le premier, Jean-Claude Delgenes, réagit à la disparition d'un indicateur sur l'état des négociations concernant le stress au travail sur le site du ministère du même nom. L'affaire a fait grand bruit. Il s'agissait de stigmatiser les sociétés de plus de mille salariés qui ne font rien pour faire baisser la pression ; une pratique qui vient des pays anglo-saxons où ce genre de classement est courant (sous le label de « name and shame », « le nom et la honte »). Une sorte de pilori des temps modernes. -
Édition Compliquons les intrigues
Le comte de Bouderbala, invité de Mediapart
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Édition Compliquons les intrigues
La liberté de se voiler et de se dévoiler
Animée par l'universitaire Rachid Benzine, «Compliquons les intrigues» est la dernière-née des éditions participatives de Mediapart. Un lieu de débat bien sûr, pour réfléchir et comprendre, par le rire ou par la philosophie... Pour sa première contribution, le philosophe Olivier Abel questionne la laïcité tandis qu'à côté, le comte de Bouderbala expose sa comédie interactive.
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