Il y a des expositions qui ne se contentent pas de raconter le passé. Elles nous tendent un miroir. « L’art “dégénéré”. Le procès de l’art moderne sous le nazisme », actuellement au Musée Picasso à Paris, est de celles-là.
Galerie MR8, Paris — jusqu’au 22 juin 2025 — Une centaine de clichés, des textes inédits, quatre photographes de renom, et une voix venue d’outre-tombe : celle de Terry Burns, demi-frère de David Bowie. Mr Jones’ Long Hair n’est pas une rétrospective, mais un voyage en clair-obscur dans l’ombre d’un mythe en perpétuelle métamorphose.
Il y a des voix qui ne s’oublient pas. Des voix qui traversent les décennies, les saisons de nos vies, et qui restent là, comme une main tendue dans le noir ou une caresse posée sur le temps. Celle de Johnny Mathis en fait partie.
Le 16 février dernier, la Corée du Sud s’est réveillée sous le choc d’une nouvelle tragédie : l’actrice Kim Sae-ron, 24 ans, a été retrouvée inerte à son domicile. Cette disparition s’ajoute à une liste déjà beaucoup trop longue d’artistes sud-coréens ayant mis fin à leurs jours ces dernières années.
Le cirque d’aujourd’hui ne se limite plus à l’exploit technique : il raconte, questionne, bouscule. Dans cette mouvance, Circus Baobab s’impose comme une référence, mêlant prouesses acrobatiques et récit engagé. Avec “Yongoyely”, la troupe guinéenne dévoile une fresque intense où les corps racontent la quête de liberté et la résilience face aux traditions oppressives.
Il y a quelque chose de troublant dans l’image que l’on se fait de la sororité au sommet. Une belle promesse de solidarité entre femmes, un front uni contre le plafond de verre, une main tendue à celles qui suivent.
La RDC connaît une montée des tensions sécuritaires dans l’est du pays, où les combats entre les Forces armées congolaises et les rebelles du M23, soutenus par le Rwanda selon plusieurs rapports, se sont intensifiés. La prise de Goma en janvier 2025 a aggravé la crise humanitaire, provoquant des milliers de déplacés et de graves violations des droits humains.
Par Kiboko Fatundu
À la gare des Invalides, côté RER C, une halte inattendue s'impose. Pas de quai bondé, pas de train à attraper, juste une plongée en pleine dystopie urbaine avec l’exposition « Chine des cimetières à vélos » du photographe Wu Guoyong. Ici, les bicyclettes ne filent plus le nez au vent, elles s’empilent, rouillées, abandonnées, formant des montagnes absurdes, vestiges d’un rêve trop grand.
Revenons sur la situation qui a prévalu en Corée du Sud en décembre dernier afin de mieux comprendre les événements et d'analyser les mécanismes démocratiques en place.