Clémence Lollia Hilaire nous offre, avec Harvest, une plongée glaçante dans les recoins sombres de l’histoire médicale, là où science et racisme se sont tissés ensemble pour forger des pratiques d’une violence insidieuse.
Parmi les œuvres présentées à l'exposition Pause à Metz, le film Two Meetings and a Funeral de Naeem Mohaiemen se distingue par sa réflexion sur les espoirs déchus du Mouvement des Non-Alignés.
Dans un monde où le tumulte politique et la montée des discours de haine semblent étouffer l'espoir, l'exposition Pause au Frac Lorraine à Metz offre un souffle nécessaire. Sous la direction de Fanny Gonella, cette exposition collective devient un espace de résistance silencieuse, né de discussions avec des artistes palestiniennes.
Dans Tatami, coréalisé par Guy Nattiv et Zar Amir Ebrahimi, on entre dans l’arène du judo avec une tension palpable, un enjeu au-delà du sport : l’affrontement entre l’intégrité personnelle et les pressions d’un régime autoritaire.
Alors que Paris accueille les Jeux Olympiques et Paralympiques, le Centre Culturel Coréen nous propose un voyage ludique et (ré)créatif au cœur de la Corée, où le jeu est une véritable institution. (Retrouver cet article sur le site lesmotsdeleo.com)
Gena Rowlands vient de nous quitter, laissant une trace indélébile dans le cinéma. Actrice emblématique, elle a su représenter les contradictions de la féminité américaine, oscillant entre le conformisme d'une Amérique aseptisée et la rébellion intérieure des femmes qu'elle a porté à l'écran. Son héritage reste celui d'une actrice qui a défié les conventions et redéfini la féminité au cinéma.
En 2020, Sarah Maldoror (1929-2020), pionnière du cinéma panafricain et cinéaste anticolonialiste, nous quittait. Née Sarah Ducados, elle prend le nom Maldoror en hommage au poème de Lautréamont.