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Le blog de Emmanuel Zemmour

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Portfolio
Monsieur le Recteur, n'abandonnez pas nos élèves !
Depuis des mois, un collectif d'enseignants dénonce la situation absurde de centaines de lycéens du 93. Scolarisé.e.s depuis des années, ils doivent déposer une demande de régularisation à leur majorité. Mais obtenir un rdv à la préfecture est devenu mission impossible. Le 15 octobre, le collectif se mobilisait dans plusieurs lycées du département pour interpeller le rectorat de Créteil. -
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Monsieur le Recteur Auverlot, n'abandonnez pas nos élèves !
Depuis des mois, un collectif d'enseignants dénonce la situation absurde de centaines de lycéens du 93. Scolarisé.e.s depuis des années, ils doivent déposer une demande de régularisation à leur majorité. Mais obtenir un rdv à la préfecture est devenu mission impossible. Le 15 octobre, le collectif se mobilisait dans plusieurs lycées du département. Images ici -
Lycéens sans papiers: le 15 octobre c'est le moment d'agir!
Depuis plusieurs mois, notre collectif s mobilise pour que cesse le traitement indigne des lycéens sans papiers en Seine-Saint-Denis. Face au silence et au mépris de l'administration, nous appelons tous les collègues à se joindre à nous le 15 octobre pour une journée d'interpellation. Voici le mode d'emploi pour vous mobiliser avec nous ! -
Reçus au bac, recalés par le préfet
La poursuite de scolarité des bacheliers étrangers est conditionnée à l’obtention d’un titre de séjour. Ils remplissent tous les critères de régularisation mais la préfecture organise une pénurie de rendez-vous qui les empêche de déposer leur dossier. En dépit du droit, Lana et des centaines d'autres vont devoir renoncer à leurs études et à mener une vie normale. -
S'il faut parler de l'UNEF,
Depuis quelques jours, je suis contacté par des journalistes pour donner mon avis sur le fait que l’UNEF ne condamne pas une de ses représentantes locales parce qu’elle porte un voile. -
#MoiAussi... Coupable
Un poing bien serré en plein dans le ventre. Ça fait mal, et pourtant ce n’est pas le premier. Elles nous en ont mis déjà des claques les copines, les connaissances, les sœurs, les militantes, les amies, les amies d’amies. Pas assez faut croire. Ca piquait toujours un peu. Parfois on se sentait con. D’autres fois, on leur en voulait secrètement de casser l’ambiance.