Samedi 26 novembre 2022, 15h : Rassemblement devant le siège d’Apple 114, avenue des Champs-Élysées (Paris). Soutien internationaliste aux ouvriers chinois de Foxconn soulevés contre le despotisme capitaliste d’usine. S'il est encore trop tôt pour conjecturer sur les effets durables du, soulèvement, ce qui vient de se passer à Zhengzhou indique un changement considérable d’échelle dans cette résistance ouvrière.
L’instrumentation de l’antisémitisme par le gouvernement, les partis parlementaires et les médias continuant de plus belle, il importe de rétablir les faits pour mettre au jour la nouvelle manipulation « Charlie » orchestrée par le Pouvoir.
Remettre sur le métier la conviction que le monde peut radicalement changer de base, la confiance éprouvée en ces échanges qui approprient à tous des questions que l’État ne pose jamais, et la fraternisation entre ceux que l’apartheid social ségrégue pour mieux les opposer. Transmettre l’enthousiasme pour le travail en commun, et la confiance persévérante en la création d’idées émancipatrices.
Deux constats à l'analyse des résultats de la Présidentielle
1. Macron est un Président largement minoritaire dans ce pays. Il ne rallie à son projet qu’1/4 des personnes concernées.
2. Le verrouillage dans un supposé dilemme inéluctable entre libéralisme atlantiste et nationalisme identitaire n’a pas vraiment réussi: 4 personnes sur 10 n’y ont pas été explicitement enrôlées. Tant mieux!
Quels sont les enjeux artistiques et idéologico-politiques de la semaine "Hétérophonies/68" programmée du 7 au 13 mai 2018 au Théâtre La Commune d'Aubervilliers? Pour y introduire, Une journée - samedi 29 avril 2017 - à l'Ircam en entrée libre…
Sans remettre en question l’autonomie (relative) de la musique (par laquelle elle échappe aussi bien, à « droite », à la tour d’ivoire qu’à « gauche » à la pure fonctionnalité « au service de… »), peut-on envisager que la musique formalise quelques dimensions de la pensée et de l’activité politiques?
Sans remettre en question l’autonomie (relative) de la musique (par laquelle elle échappe aussi bien, à « droite », à la tour d’ivoire qu’à « gauche » à la pure fonctionnalité « au service de… »), peut-on envi-sager que la musique formalise quelques dimensions de la pensée et de l’activité politiques?
Comme on s’y attend, l’exposition est bien faite, riche de merveilles et surprises, soigneusement composée. On est constamment désarçonné par des rapprochements imprévus, des relations inattendues.
On en sort cependant démobilisé, accablé et sans ressort subjectif, rongé par la terrible question nihiliste : « À quoi bon ? » Pourquoi un tel sentiment ? Tentons de formuler un premier avis.