New York sous la pluie est une scène où la ville semble vibrer sous une lumière presque cinématographique. Selon l'humeur du ciel les gouttes tombent doucement ou tambourinent sur les trottoirs, transformant l’asphalte en un miroir brillant dans lequel les néons multicolores des enseignes se reflètent.
Mickey Spillane, célèbre auteur de romans noirs, est le créateur de l'intrépide détective privé Mike Hammer, une figure iconique du polar américain. La série "Mike Hammer" a trouvé un écho retentissant en France dans les années 70 grâce à son inclusion dans la collection "Le Livre de Poche - Policier" qui a permis à un large public d'accéder à ces récits captivants.
Michael Angelo Hammer contemplait la vue nocturne de New York depuis le cinquante-quatrième étage de son bureau. Les lumières de la ville formaient un spectacle captivant, mais son esprit, lui, restait ailleurs. Depuis quelques jours, une sensation de malaise le hantait sans qu’il puisse en comprendre la cause...
Michael Angelo Hammer ajusta sa cravate devant le miroir de son bureau. À cinquante ans, il en imposait encore. Des épaules carrées, un regard vert qui semblait lire dans les âmes, et une allure qui lui donnait un air d'éternel charmeur. Ce soir-là, il avait prévu de dîner avec Suzy Blane, une jeune actrice montante qui faisait tourner bien des têtes...
New York, ville de bruit, de lumière et de mystère, se réveillait sous un ciel gris, les gratte-ciels transperçant une brume automnale dense. Dans cette forêt de béton se trouvait le bureau de Michael Angelo Hammer, au cinquante-quatrième étage d'un immeuble Art Déco qui n'avait rien perdu de sa grandeur des années 30...
Pendant une dizaine d'années, mes voyages professionnels fréquents m'ont offert de nombreuses heures de lecture, notamment lors des trajets les plus longs. Je me suis passionné pour les polars, en particulier la littérature américaine dite hard boiled. Parmi les auteurs de ce genre, Dashiell Hammett est sans doute incontournable, mais c'est Mickey Spillane qui suscitait le plus ma curiosité.
Il est des films qui marquent, des œuvres qui, par leur intensité et leur élégance, deviennent des monuments du cinéma. "Borsalino" en est un. Ce film, revu le jour de la disparition d'Alain Delon, prend une résonance particulière, réveille une nostalgie douce-amère et cristallise la dualité fascinante de deux monstres sacrés du cinéma français : Alain Delon et Jean-Paul Belmondo.
Alors que je me trouvais attablé à un café sur le Cours Mirabeau, l'âme de la ville d'Aix-en-Provence imprégnait chaque instant. Le printemps avait peint la ville dans des teintes vives et le temps semblait s'être figé, comme capturé dans un tableau de maître provençal. Devant moi, posé sur la table, un livre : L'espion qui aimait les livres de John le Carré.
Alors que Fabio était plongé dans les premières pages du tout nouveau roman mettant en scène une version moderne du détective Mike Hammer, il était captivé par l'intrigue naissante et l'ambiance électrisante propre à ce genre de récits. Les mots semblaient danser devant ses yeux, créant des images vives et des scènes d'action palpitantes...
Le 30 janvier 1989, Nikita vint au monde dans une chambre de la maternité de l'hôpital de la Conception à Marseille. Dans la chambre voisine, une autre naissance était en cours. Lucien dit « Lulu », qui allait devenir son camarade de classe et plus tard son ami, venait également au monde ce jour-là...