C'est souvent exaspérant, parfois insupportable. Nous nous énervons. Vous aussi. Tonymaj, par exemple, est en colère dans ce billet. Il a raison. Mediapart rencontre trop souvent des problèmes techniques. Lenteurs d'accès, engorgements, bugs, pièges divers : notre site fait parfois preuve d'une imagination débridée pour mettre à mal notre patience. Pour dévorer une énergie que nous aimerions utiliser autrement, dans une refonte du Club, par exemple, ou dans le développement de nouveaux outils et fonctionnalités.
Plusieurs manifestations ont été durement réprimées, ce samedi, à Moscou. Organisées par les divers groupements d'opposition, elles n'ont pas pu se tenir. Le pouvoir avait déployé dans la capitale russe plus de 7.000 Omons (forces spéciales) assistés d'hélicoptères.
Mon premier est l'Evening Standard, un formidable journal populaire qui est à Londres une institution. Mon second est un objet muséal certes défraîchi mais toujours dans les kiosques : France Soir.
C'est un texte fort intéressant qui taille en pièces les états généraux de la presse, gérés en direct par l'Elysée, ou plutôt par le cabinet du président de la République.
Depuis jeudi soir, notre site a connu plusieurs incidents techniques qui ont perturbé gravement sa consultation. Nous nous excusons vivement de ces désagréments. Vendredi, vers 16h30, l'ensemble du site fonctionne normalement. Si des irrégularités subsistent, n'hésitez pas à nous les signaler. Rassurez-vous : aucune des contributions postées - billets de blogs, articles d'édition, vidéos, dessins - n'a été «perdue». Notre équipe technique poursuit son travail de stabilisation et, surtout, d'amélioration de certaines fonctionnalités. Merci de votre confiance.
« Charlie Hebdo » nous fait rire, souvent. Philippe Val, son directeur, jamais. C'est un genre de journalisme-taliban (on disait autrefois «police de la pensée») que nous fuyons et c'est justement pour cela que Mediapart a été créé. Pour échapper aux prêches en chaire, aux excommunications d'opportunité et à cette posture de l' « éditorialiste » assénant à la populace ce qui est bien et ce qui est mal, cette même populace n'étant pas autorisée à répondre. De quoi s'agit-il ? De son éditorial sur France Inter, ce vendredi 5 septembre.
Mediapart aura trois mois samedi 21 juin. L’occasion d’un premier bilan et surtout d’une fête. Nous organisons samedi une journée « portes ouvertes », avec rencontres, débats, forums, spectacles, concerts… et quelques surprises.