Déclaré hier membre des "publics prioritaires" par mon médecin pour la fameuse vaccination, je préfère laisser ma place dans l'immédiat à ceux qui œuvrent pour le bien commun.
Je n'embouteillerai pas les standards ni n'allongerai les listes d'attente.
Je n'ai plus grande utilité, hors des fleurs du jardin. L'humanisme dont je fis le fondement de mon activité professionnelle est passé de mode.
Allocution du 14 octobre. Décréter des mesures peu crédibles, sans avoir les moyens démocratiques de les appliquer peut conduire à de nouvelles atteintes aux libertés publiques par la caste au pouvoir. Ceci peut conduire aussi à des mouvements populaires de révolte instrumentalisés par les extrémistes de tous poils. Le jeune homme joue avec le feu.
Peut on accepter qu'on prétende nous préserver en nous enfermant ?
Peut on fallacieusement restreindre les libertés publiques au motif de protéger des populations fragiles ? Lesquelles sont désormais dument informées de ce qu'elles ont à faire pour se protéger elles mêmes ou que l'on pourrait accompagner spécifiquement si elles n'ont pas l'autonomie nécessaire.
Nous avons tenté d'éviter trop de décès massivement parmi les plus fragiles d'entre nous et c'était bien.
On a pris en conséquence un marteau pour écraser une mouche, ici comme ailleurs où l'on avait cédé aux sirènes ordo-libérale.
Voilà un secteur typique à reconvertir à une agriculture saine et utile.
Les néo libéraux au pouvoir un peu partout sur la planète ne le feront pas, hélas.
Ne rien attendre non plus des tyrans mafieux ailleurs.
Nous continuerons donc à être gavés de sucre gorgé de pesticides
N'abusons pas du beau principe de présomption d'innocence. Peut on faire confiance à cette personne pour tenir un poste de responsabilité ? C'est la crédibilité qui est en cause ici.