Hocine Kerzazi

Professeur certifié de lettres modernes, qualifié maître de conférences, docteur en sciences religieuses (spécialité sociologie des religions).

Poitiers. - France

Sa biographie
Hocine Kerzazi est professeur certifié de lettres modernes, qualifié maître de conférences (CNU, section 22), docteur en sciences religieuses (spécialité sociologie des religions). Il a contribué aux activités du Groupe d'Intérêt Scientifique (CNRS), du réseau interdisciplinaire de recherche (DCIE),1 de l’Institut du Pluralisme Religieux et de l'Athéisme (IPRA) et de l'Association française d'histoire religieuse contemporaine (AFHRC).
Son blog
23 abonnés Hocine Kerzazi
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  • L’amour à l’épreuve de l’horreur

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    Que faire devant l’état déplorable du monde ? Comment vivre tous ensemble heureux face au déferlement des passions égoïstes et tyranniques ? Suffit-il de nous donner la main pour espérer que tout aille mieux ? Est-ce bien réaliste alors que l’homme est un loup pour l’homme ?
  • S'il est réélu…

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    Le quinquennat d’Emmanuel Macron a préparé le terrain à l’effondrement de la France. Sa réélection précipitera le pays dans l’abîme.
  • L’émotion à géométrie variable

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    On s'émeut, depuis une semaine, du sort des civils ukrainiens alors qu'on ferme les yeux, depuis des décennies, sur le destin tragique de nombreux peuples opprimés à travers le monde. Comment, dans ce contexte, se prétendre universaliste et faire la leçon ?
  • Zemmour relaxé, musulmans condamnés

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    La rentrée 2021 place Eric Zemmour au coeur des attentions. L'annonce pressentie de sa candidature et la publication à venir de son prochain livre s'inscrivent dans une actualité médiatique saturée à laquelle s'ajoute une récente relaxe en appel pour ses propos ouvertement anti-musulmans. L'occasion d'en remettre une louche sur la stigmatisation d'une partie de nos concitoyens.
  • Le sens de la confiance

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    La France n’est pas islamophobe. Personne ne peut souscrire à ce registre. Tout le monde sait en revanche qu’on y entretient des peurs et des doutes parfois légitimes. Et que, dans ce contexte-là, il appartient à tout musulman de tenir un discours qui le définit non pas comme sujet d’une communauté mais comme citoyen œuvrant à l’ouverture d’espaces d’écoute et de confiance mutuelles.