Essayiste, auteur de Islamo-diversion (L'Harmattan, 2021). Docteur en sociologie des religions, qualifié maître de conférences, enseignant
Poitiers. - France
Si on est loin de tout connaître du Muhammad historique, son enseignement spirituel reste présent et de façon bien réelle dans la mémoire et les cœurs des croyants. Que nous apprend cette figure intemporelle à laquelle restent attachés des milliards de musulmans à travers le monde ? C’est ce dont rend compte Denis Gril, professeur émérite dans son dernier ouvrage Le Serviteur de Dieu (Cerf, 2022).
A l'approche des législatives, un Français de confession musulmane dénonce l’ingérence politicienne à l'œuvre dans des mosquées françaises. Il réagit ici avec émotion pour placer les responsables communautaires face à leur responsabilité.
L’élection présidentielle annonce des lendemains difficiles et celui du 24 avril sera particulièrement violent. La France se réveillera dans la douleur et il faudra se regarder en face. A moins qu’un sursaut salvateur ne se produise.
Le maire* de Châtellerault (86) se répand dans la presse locale pour afficher son soutien à la réélection d’Emmanuel Macron présenté sans honte comme un « capitaine dans la tempête ». Voici la réponse sans concession de l’un de ses administrés.
Si l’invasion de l’Ukraine par la Russie a des répercussions importantes à toutes les échelles de nos vies, elle ne doit pas occulter la farce démocratique qu’entretiennent les mass-médias pour taire le bilan d’Emmanuel Macron et assurer sa réélection. Évaluer la gravité de la guerre là-bas est une chose, surfer sur les peurs pour se défausser à bon compte en est une autre.
On s'émeut, depuis une semaine, du sort des civils ukrainiens alors qu'on ferme les yeux, depuis des décennies, sur le destin tragique de nombreux peuples opprimés à travers le monde. Comment, dans ce contexte, se prétendre universaliste et faire la leçon ?
Un bouleversement de proportions inédites se déroule sous nos yeux à moins de soixante jours de la présidentielle. Le macronisme semble entrer dans sa phase d’effondrement malgré l’apparence flatteuse des sondages. C’est qu’il est en train de vivre son apocalypse, la « révélation » rendue possible par la convergence des luttes à l’œuvre en ce moment contre le président sortant.
Sinistre farce que ce début de campagne présidentielle. Alors que la France croule sous les crises d’un quinquennat aux abois, voilà que les mass-médias s’appliquent à détourner l’attention. Le feuilleton Zemmour est une aubaine pour le président-banquier et sa classe dirigeante. Tous deux sont les faces d’une même pièce. Deux détaillants d’un même grossiste : l’oligarchie dominante.