Une vie vouée à l'écriture. Journaliste dans le sud par le rugby d'abord (!) Engagé dans le combat pour une société solidaire et fraternelle. Contre le profit, la croissance et le nationalisme. Insoumis,1…
indigné, permanent. Utopiste paraît-il. Et c'est bien triste....
L' Aubrac comme ne l'ignore que ceux qui le veulent bien et qui, du reste, n'ont pas forcément tort, se situent entre Rodez et Clermont-Ferrand. C'est en tout cas ainsi que je l'ai toujours défini, tant il est nous est loisible d'intégrer à notre belle montagne à vache, celle des Puys d'Auvergne qui, avec quelques mètres et skieurs supplémentaires, s'en rapproche considérablement.
C'est le président de la République Macron en personne et en majesté, qui est venu annoncer que les enfants agressés par un chrétien de Syrie, crétin de partout et fortement déséquilibré surtout, allaient mieux ! Est-ce que ce déplacement en Haute-Savoie répondait à l'appel d'Aurore Berger.
Hier à Clermont-Ferrand, aujourd’hui à Graulhet, demain à Rodez, voici que je mène une vie palpitante à travers le vaste monde ! Et toute blague mise à part, il est un fait que cela fait une belle retraite, que je ne regrette finalement pas d’avoir pris à soixante ans. Et vous me dites que vous allez prolonger jusqu’à soixante-quatre !
Faut quand même reconnaître. Je suis comme l’amer. Qui monte, monte et puis se retire. Il y a aussi l’amant qui se retrouve parfois dans ces situations. Ah ! Vous pouvez rire ! J’ai les soixante kilomètres du retour de Mende encore un peu dans les pattes et sur la patate !
Cela fait combien que nous ne sommes pas allés manifester ? Un mois seulement ! Il me semble que cela fait des lustres. Faut dire qu’à force de descendre tous les quinze jours et même parfois toutes les semaines dans la rue, tu finis par prendre le rythme et 34 jours sans le son harmonieux des casseroles te paraissent une éternité.
Éprouvante journée je vous jure, que la mienne aujourd’hui en Aubrac. Déjeuner au buron de Born, le plus beau restaurant du monde, c’est pas la question. Mais c’est aussi le plus copieux, même si le camarade Privat aux Grands Buffets de Narbonne, se défend bien ! Et c’est là que le bât blesse.
Écrire est une aventure. Et lorsqu’il s’agit d'un livre, c’est une épopée. Soixante ans après avoir gratté la première - soit environ un an avant le CP, car à l’époque on était moins précoces - je suis toujours étonné du plaisir que je prends à entamer une page. Surtout depuis que l’informatique est à ma portée.
Tandis que la semaine cannoise fut rythmé par tout un cinéma au scénario éculé, avec ses robes luxuriantes et supposant bien des luxures, ses sourires convenus et ses clic-clacs machinaux, une litanie de films aux intérêts relatifs et performances inégales, sortant des bisous moelleux et du micmac traditionnel, une lauréate s'est levée et fait de Cannes, la belle et même la rebelle !
Les bovins se sont faits une spécialité de diviser les français, alors que je puis vous le garantir, pour en avoir bien souvent débattu avec eux à travers les montagnes aubraciennes, ils ne sont ni de droite, ni de gauche.
Alors pour ceux qui en sont, c'est une évidence et pour ceux qui n'en sont pas, je vous donne un scoop : le prochain leader de la gauche dite radicale ( je préfère la vraie gauche, mais c'est déjà plus correct que extrême ), c'est François Ruffin ! Toutefois cette évidence mériterait d'être validée par un choix populaire et démocratique. Contrairement au monde de fonctionnement actuel de LFI