Lors de l'émission politique réunissant les candidats, François Fillon a tancé Léa Salamé qui lui posait une question à la quelle il avait déjà répondu à Pujadas, lors du congé maternité de Salamé. Le candidat LR lui en a fait la remarque, en la "chambrant" sur le fait qu'elle avait une bonne raison de ne pas avoir suivi son émission ce soir là.
Dans une campagne de caniveau, et alors que le pays fait face aux plus grands défis qu'il ait eu à affronter depuis 1958, les électeurs doivent faire un choix. Celui-ci a été rendu difficile par le brouillage d'un système médiatique aux abois, mais une analyse rationnelle (et tactique) permet tout de même à l'électeur soucieux de rompre avec le hollandisme de trouver un cap assuré...
Le 6 janvier 2016, à Las Vegas, Emmanuel Macron donnait une fête somptueuse pour plus de 380 000 euros, sur le budget de son Ministère. Une « opération de séduction, montée dans l'urgence, à la demande expresse du cabinet du ministre » selon le 'Canard Enchaîné', qui aurait permis à celui qui préparait officieusement sa candidature de recevoir 500 patrons de start-up en grande pompe.
Le grand débat sur Cnews et BFM TV n'aura pas vraiment porté chance au candidat d'En Marche !. Délaissé par les autres candidats et souvent inaudible, Emmanuel Macron sort très affaibli de ce grand rendez-vous.
A l'occasion du scandale du "cabinet noir", les Décodeurs du Monde ont livré une copie médiocre, en se faisant les relais d'une fake news grossière en début de soirée, puis en rédigeant un papier qui réussit l'exploit de ne pas citer le livre a l'origine de toute l'affaire.
Alors qu'ils publient un brûlot sur la pratique du pouvoir de François Hollande et son immixtion dans les affaires judiciaires, les auteurs de "Bienvenue Place Beauvau" (journalistes au Canard Enchaîné) ont semblé faire marche arrière. Minimisant les actions de François Hollande, ils vont jusqu'à sous entendre qu'il aurait eu tord de se priver. Pourquoi ?
Les accusations portées par François Fillon dans l'Emission Politique jeudi soir, ont généré une intense émotion. Les premières pages qui circulaient le soir même démontraient l'instrumentalisation, par François Hollande, des moyens de la justice et de la police, pour lancer des affaires contre ses adversaires potentiels, y compris au sein-même de son gouvernement.
Très logiquement et justement battu sur la pelouse du Nou Camp, le PSGF a réalisé un non-match absolu. Refus de l’engagement, refus d’avancer, refus même de la possession, les parisiens ont mis les ingrédients qui leur assuraient une correction symétrique à celle qu’ils avaient infligé au Barça à l’aller. En revanche, la qualification du Barça est usurpée.
Quand éclata l’affaire Pénélope, on raconte que Macron aurait cru de prime abord que c’est la faiblesse de la rémunération qui offusquait les commentateurs : « quoi, 800.000 € en vingt ans, quand mon assistante chez Rothschild se les faisait en six mois ! Ce Fillon est un pingre. » Au-delà de la boutade, il est certain qu’Emmanuel Macron a une relation à l’argent différente de l’homme de la rue.
Pendant que la presse tente de relancer le feuilleton Fillon, c’est un tonnerre de silence qui a accueilli la révélation, ce week-end, du scandale Macron-Servier. Le laboratoire commercialisant le Mediator, et connu pour ses techniques occultes de lobbying, s’avère être l’inspirateur principal du volet « santé » du programme d’Emmanuel Macron, via un « expert » grassement rémunéré.
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