Si j'en crois le sondage participatif des "Recommandé", ma présence au deuxième tour et même mon élection paraissent acquises. Par souci d'information, les 10 premières mesures de ma présidence.
Mon diagnostic devant les fauculteries auxquelles se livrent les aspirants présidents sur la question de la survie en Ehpad : "y a des escarres qui se perdent."
Deuxième volet des carnets de ma campagne électorale participative, "The Programme" et ses 11 Grandes Causes Nationales. Commentaires, contributions et surtout les dons (emprunt russe refusé ) restent les bienvenus. Prochainement, les mesures des "cent premiers jours".
Le treizième candidat, une sorte de chat noir qui portera malheur aux "douze salopards". Premier volet de cette campagne participative, l'affiche. Vos suggestions, de vos commentaires et de vos dons (en espèces seulement) sont indispensables pour que j'arrive à l'Elysée.
Si la guerre livrée par la Russie se prolongeait, outre des difficultés d'approvisionnement en gaz,les français pourraient souffrir d'une pénurie de réfugiés due à un manque de sobriété caritative et à une surenchère de propositions d'accueil. Quoiqu'il en soit, les réfugiés ukrainiens sont de petits veinards puisqu'ils ne sont ni syriens, ni maliens, pas même afghans.
Extraits du discours prononcé par le roi de Norvège à l'occasion de la remise du prix Nobel de la transition énergétique à son premier récipiendaire, Vladimir Vladimirovitch Poutine. Au fait, quelqu'un connaît-il les cotes des belligérants sur les sites de paris en ligne ?
Le président Macron rend hommageà l'héroïsme de son homologue Zelinsky, un courage qui n'est pas sans rappeler celui qu'il avait fallu au président français pour affronter l'armée des Gilets Jaunes lors de sa tentative d'annexion des Champs Élysées .
Qui osera encore critiquer ces groupes dont l'utilité principale était jusque là limitée à la possibilité qu'avaient leurs membres de s'aérer gratuitement.
Recensement des dégâts collateraux subis par les français depuis le début de la guerre en Ukraine avec à-peu-près vaseux et calembours déplorables. Pas pire qu'un plan de ... résilience (!) annoncé depuis le salon de l'agriculture.
Il est question de parrainages, de quand dida-t-on (hum), de chasse, d'Ukraine, de justice, de contraintes sanitaires, air france, de télé-réalité et même de Bayrou.