Le 27 octobre 2021, Sassou Nguesso sera dans le Nord de la France, à Verquin, pour inaugurer le discours du Général de Gaulle. Il y sera en compagnie de Rodolphe Adada. Ce malgré le scandale des Pandora papers. Mais Sassou Nguesso sait que la fin de son pouvoir est actée...
Dans quelques jours ou semaines, voire quelques années, lorsque les Congolais se réveilleront enfin et décideront de chasser le gang mafieux des Nguesso au pouvoir à Brazzaville, nous constaterons tous que notre pays a été vendu au plus offrant, et ils ne nous restera plus qu’à donner les clefs du bled aux créanciers du Congo-Brazzaville pour payer une dette odieuse ou non !
La lettre de M. Jean Félix TSIBA est la preuve que les citoyens du Nord subissent les mêmes souffrances que ceux du Sud. Le combat que nous menons est National et c’est dans l’unité qu’il doit être mené. Les cadres du PCT doivent comprendre que c’est déjà la fin. Elle n’est pas proche mais elle est déjà là. C’est pourquoi, il est temps de négocier avec le Peuple...
Les relations entre l’Institution de Bretton Woods et Brazzaville battent de l’aile depuis la publication des faux chiffres de la dette. En attendant de voir de quel côté va tomber la pièce de la négociation entre le Fonds monétaire international (FMI) et le Congo-Brazzaville..., le projet de loi de finances (PLF) a été approuvé en Conseil des ministres le 7 octobre 2021.
Au lieu de menacer de poursuites judiciaires les journalistes et celles et ceux qui parleront de ce dossier sulfureux de prédation des fonds publics de la Nation, en application de l’article 96 de sa Constitution, M. Sassou Nguesso ferait mieux de faire comme ces autres pays du monde qui ont ouvert des enquêtes judiciaires contre les personnalités citées...
La parution dans le numéro 4087 du 14 septembre 2021 de La Semaine Africaine d’une interview controversée de l’ancien vicaire judiciaire de l’archidiocèse de Brazzaville, le père Mesmin Massengo, 27 ans de sacerdoce, richissime, collaborateur déclarée du dictateur Sassou-Nguesso et pourfendeur de l’Eglise, suscite une problématique de déontologie journalistique et cléricale...
Dans l'intérêt supérieur de la nation congolaise et pour la sauvegarde des vies humaines, l'opposant Modeste Boukadia, en exil en France, après une incarcération sauvage qui lui a valu une condamnation à 30 ans aux travaux forcés pour "atteinte à la sécurité de l'Etat", tend la main à Sassou Nguesso, le dictateur Empereur parachuté du Congo-Brazzaville par le bout d'un canon....