Ce livre témoignage relate des fragments de crimes humains qui ont eu lieu de décembre 1998 à janvier 1999 sur le site du petit séminaire de Kinsoundi, un quartier de Brazzaville.
Les grands travaux de Jean-Jacques Bouya et son mentor Denis Sassou Nguesso ressemblent à l’absurde caractérisé par le mythe de Sisyphe d’Albert Camus. Une punition divine, infligée à Sisyphe par des dieux grecs. Impoli, il fut condamné à rouler un rocher vers le sommet de la montagne d’où il retombait, pour répéter le même scénario.
Face à la décadence de la France en Afrique noire, à la montée en puissance de la présence de la Fédération de Russie à travers la milice Wagner dans ces contrées, les États-Unis d’Amérique veulent à tout prix contrer les Russes en s’assurant une victoire militaire et politique en République de la Centrafrique (RCA), ce qui semble impossible à obtenir pour l’instant avec la guerre en Ukraine.
De 1960 à 1968, aucun président du Congo et son ethnie de naissance n’ ont été ciblés, indexés et qualifiés de « prédateur », jusqu’à ce qu’il arrive, à la tête du Congo, une certaine catégorie d’individus sans scrupule, de moralité peu recommandable et qui est qualifiée, par la presse internationale,de « Prédateur » !
Attirés par les sirènes monétaires du pouvoir autocratique du Congo-Brazzaville, les opposants congolais en mal d’existence nous assènent maintenant à longueur de journée l’antienne de la PAIX au Congo-Brazzaville pour mieux justifier leur séjour dans notre pays, notre dictature.
« Bouffer, manger » sont des expressions courantes au Congo pour « les obligés » qui sont « à table» avec le pouvoir autocratique de Denis Sassou Nguesso, plus Brutus que César ! Celui qui « arrose », « comble », « sucre », « achète » ses interlocuteurs, attend d’eux la soumission, la compromission et la disponibilité à « rendre service en retour » un jour ou l’autre...
« Bouffer, manger » sont des expressions courantes au Congo pour « les obligés » qui sont « à table» avec le pouvoir autocratique de Denis Sassou Nguesso, plus Brutus que César ! Celui qui « arrose », « comble », « sucre », « achète » ses interlocuteurs, attend d’eux la soumission, la compromission et la disponibilité à « rendre service en retour » un jour ou l’autre...
Monsieur Lucien Ébata sera sacrifié sur l’autel des relations entre le Congo-Brazzaville et la France. C’est le bouc émissaire idéal qui payera les pots cassés dans l’affaire des biens mal acquis, n’étant pas de la famille biologique de monsieur Denis Sassou Nguesso.
C’est un secret de polichinelle qui vient d’être mis sur la place publique. À bien y regarder c’est un travail journalistique d’investigation qui est servi au peuple congolais afin d’éclairer sa lanterne sur la nature des gouvernants qu’il a.