Tout homme a un prix auquel il peut se vendre en sacrifiant ce qu’il a de plus noble, tel que la dignité. En politique, surtout au Congo-Brazzaville, cela devient monnaie courante. Chacun essaie de se positionner dans la guerre de succession que se livrent par écuries interposées messieurs Denis Christel Sassou Nguesso et Jean Dominique Okemba pour ne citer qu’eux.
Le khalife d’Oyo, Denis Sassou Nguesso enfile des perles. Ce ne sont pas des « perles de la matinale » de « Ziana TV » de Cyr Makosso et Landry Deko dont il s’agit. C’est une règle intangible depuis le 5 février 1979, comme une loi de gravitation. Tout ce que Denis Sassou Nguesso lance ou initie lui revient en boomerang.
Le khalife d’Oyo, Denis Sassou Nguesso enfile des perles. Ce ne sont pas des « perles de la matinale » de « Ziana TV » de Cyr Makosso et Landry Deko dont il s’agit. C’est une règle intangible depuis le 5 février 1979, comme une loi de gravitation. Tout ce que Denis Sassou Nguesso lance ou initie lui revient en boomerang.
Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude. Dans une phraséologie maladroite, pour ne pas dire infantile, le général d’armée, qui ne s’est toujours pas bonifié dans l’art oratoire nonobstant plus de 38 années cumulées de pouvoir dictatorial, a fait comprendre au monde entier que le Congo-Brazzaville est un État voyou (rogue state)...
Aveuglé par l’illusion de sa puissance, Sassou Denis ne voit même pas qu'il n'est entouré que de vers. Ils sont de toutes les couleurs, de toutes les tailles et de tous les genres, mâles et femelles. Ils sont partout autour de lui, voraces, grassouillets, bedonnants et bruyants.
En s'improvisant "juriste", Sassou Denis feint d'ignorer qu'il est ce ver qui est dans le fruit congolais depuis près de quarante ans d'exercice autoritaire d'un pouvoir illégal et illégitime.
Qui est responsable de la débâcle du PCT et de la faillite du Congo-Brazzaville ? Franck Gandziri et le PCT aile Paris se gardent de citer Denis Sassou Nguesso, « le démolisseur », préférant botter en touche.