Il faut prendre les coups, digérer les baffes, essuyer les crachats et même après un K.O, se relever, se redresser et continuer à avancer à la manière du boxeur Rocky. Avancer un pas après un pas, même si c’est l'enfer que l’on traverse.
Le gouvernement colonial, incapable de gérer, dans l’intérêt de la Population, n’a rien trouvé d’autre que d’attaquer les malades : si vous êtes en réanimation, c’est de votre faute parce que vous n’êtes pas vaccinés…
S’ajoutent les propos racistes, méprisants, ségrégationnistes nourris du mépris de la discrimination nous présentant comme des illettrés,
Un temps pour se battre, combattre et un temps pour tomber, s’agenouiller, s'effondrer avant de se relever. Laissons pleurer les cœurs qui souffrent de n'avoir plus à aimer un enfant, un ami, un frère, une mère, un père, juste un être à aimer.
Car selon eux, ces mesures sont davantage sécuritaires que sanitaires. Ils dénoncent des initiatives "privatives de liberté" et "très infantilisantes à l'égard des populations de ces pays", et en concluent que « l'Outre-mer » est "l'éternel laboratoire sécuritaire" de la France.
Nous avons raison de nous rebeller, de refuser cette société de brimades, de violence institutionnelle, de mensonges érigés en politique sanitaire. Et si en face les bottes rythment la cadence des tirs de leurs armes meurtrières, nous leur opposerons le tambour. La culture.
Ma liberté est de préférer la Liberté de soins et d’avoir le choix de ne pas introduire dans le tréfonds de mon immunité unique une protéine spike qui en prend le contrôle et qui ne peut en aucun cas faire face aux 3000 coronavirus connus à ce jour …
Cela s’exprime encore aujourd’hui et principalement sur les réseaux sociaux, ou les « volontouristes », publient des photos d’eux au milieu d’enfants rachitiques, dans des écoles et des hôpitaux qu’ils visitent.
Ils sont engagés dans une véritable course à la mention j’aime sur Facebook, sans faire aucun effort pour comprendre le contexte culturel. La souffrance obtient plus de likes.
la protection de l’environnement n’ont jamais été une priorité pour nos gouvernants. Au-delà de la communication, des effets d’annonces et des campagnes électorales, nos personnels politiques sont absents des grands sujets qui nous concerne. On ne doit pas s’étonner qu’ils poussent à la vaccination obligatoire et au passe sanitaire, c’est plus simple et n’engage pas leur responsabilité.
Et quand l'arme de la peur ne fait plus peur tout est possible, le pire comme le meilleur. Quoiqu’il en soit les martiniquais devront être unis pour affronter cette période et ne pas céder aux stratégies de division qui consistent à parcelliser l'identification des problèmes