jeff Lafontaine
Formateur concours fonction publique
schoelcher - Martinique
Sa biographie
Juriste de formation, j’ai milité dès le lycée dans des organisations politiques d’extrême gauche notamment la branche jeunesse du groupe révolution socialiste qui s’appelait "Jeunesse d’avant-garde" (JAG). Après les études j’ai enseigné en Guadeloupe et me suis rapproché des milieux politiques de gauche1…
et j’ai participé à la création du PPDG (Parti Progressiste Démocratique Guadeloupéen) qui naissait de la scission du Parti Communiste guadeloupéen.
Revenu en Martinique j’ai participé dans l’académie de Martinique à l’émergence de dispositifs « politique de la ville ». De 2004 à 2015 une longue expérience en collectivités territoriales. Successivement : Directeur de la sécurité à la ville de Schoelcher, Directeur du contrat urbain de cohésion sociale à la ville de Fort de France, chef de cabinet du Maire de Fort de France, Directeur de cabinet du Président de Région Martinique.
Mon dernier poste; chargé de mission d’inspection auprès de l'inspecteur des sciences biologiques et sciences sociales appliquées dans l'académie de Martinique.
Aujourd'hui à la retraite de l'éducation nationale je fais la préparation des candidats aux concours de la fonction publique.
Blogueur politique indépendant.
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Dèwò
« Déwò » raconte l’histoire de Kenzo, un jeune martiniquais dont la famille porte encore les marques de l’héritage colonial. Au fil de ses déambulations à travers le pays, ses connaissances livresques se heurtent avec brutalité à la réalité coloniale. -
De la fabrique du «crétin» à la fabrique du «créole»
Depuis des décennies, on assiste à une entreprise méthodique de déconstruction et d’effacement des repères propres à notre société — qu’ils soient culturels, historiques, linguistiques ou symboliques — au profit de références exogènes soigneusement pensées pour façonner des individus adaptés à un modèle qui n’est pas le leur. -
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Le Cirque Colonial en Représentation
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Tuerie de Fort-de-France : quand l'État colonial s'arme… contre son impuissance.
Les CRS, les brigades mobiles, les radars, les opérations coup de poing… tout cela donne à voir une île sous haute surveillance, non pas parce qu’elle menace la République, mais parce qu’elle n’en fait pas vraiment partie.