Chaque fois que nous voyons des jeunes en échecs, des jeunes dépourvus de stimulation esthétique, culturelle ou spirituelle, il faut se dire que la violence est déjà-là et qu’elle nous regarde !
Aujourd’hui plus de 80% des martiniquais ne sont pas vaccinés cela en dépit de la campagne de peur menée par le gouvernement avec son lot de menaces, de décisions coercitives, de désinformation de masse, des tentatives de séduction de certains de nos élus, c’est : AWA, NON, NENNI, NIET.
Tout portait à croire que l’autonomie gagnait l’acceptation de la population, notamment avec la célèbre phrase de Pierre Aliker « Les meilleurs spécialistes des affaires martiniquaises sont les martiniquais eux-mêmes ».
Une telle situation commence à trouver des réponses soit dans l’économie parallèle, le trafic de drogue, la prostitution, le grand banditisme, la contestation sociale de masse ou la radicalisation antisystème.
C’est ce que nous enseigne La Fontaine, (pas moi, l’autre) dans sa célèbre fable Le Loup et l’agneau.
Dans cette courte histoire, le narrateur n’énonce pas une morale, mais fait plutôt le constat d’une réalité cruelle à portée universelle.
Ce samedi 17 juillet 2021, beaucoup de personnes en Martinique (plus de 1000), en Guadeloupe et en France sont descendues dans les rues pour manifester leur opposition à la politique liberticide anti COVID mise en œuvre par le Gouvernement Français et relayée par une majorité du personnel politique Martiniquais. En effet, les slogans tournaient pratiquement tous autour de la liberté.
Les débats sur les esclavages demandent parfois quelques clarifications. Cette contribution apporte des réponses à mes questionnement, je la partage avec vous avec l’autorisation de son auteur.
En Martinique, l'histoire de la colonisation demeure un sujet de tensions mémorielles, et la vérité historique s’écrit en dialogue avec la société, de manière ouverte et complexe, c'est un vrai champ de mines.Un débat complexe mais indispensable. La question coloniale appelle encore à la prudence et c’est peu dire que les historiens qui s’y risquent pèsent leurs mots.
La destruction inattendue des statuts de Victor Schoelcher nous montre que sous cette apparence apaisée des composantes de notre société martiniquaise, les cicatrices des blessures de l’histoire sont encore sensibles, et qu’il n’en faudra pas beaucoup pour les réveiller.
La réouverture des établissements scolaires est apparue comme un véritable challenge rassurant sur l’implication des acteurs de terrains (enseignants, chefs d’établissement, CPE, AED, agents volontaires etc..) et interpellant sur la capacité de nos dirigeants prendre des décisions pour protéger la population