Il y a longtemps, dans une petite école du sud de la France, des enfants se sont mis à écrire à d'autres enfants de France, puis du monde entier, des milliers d'histoires et de dessins d'enfants ont ainsi circulé
La décision d'attribuer une note aléatoire au baccalauréat a suscité des alliances inédites et imprévues entre enseignants atteints dans leur dignité professionnelle.
Les vives discussions autour de l'article 1 de la loi Blanquer soulèvent la question de la liberté d'expression des enseignants. Un détour par l'histoire permet de situer ces débats sur le temps long et de montrer que la répression politique des enseignants et la conquête de leurs libertés ont aussi une histoire, souvent méconnue.
La réforme du lycée professionnel soulève bien peu d'indignations. Or, elle concerne près d'un quart des lycéens que le ministère ne semble pas considérer comme dignes de suivre des enseignements généraux.
Les images de l’arrestation de 150 jeunes à Mantes resteront. Elles sont indélébiles. Les lycéens en manifestation les ont détournées avec intelligence et brio.
Dans un article particulièrement mensonger et salissant, le journal Causeur montre son appétit pour l'accusation et son indifférence à la vérité. Etant resté sourd pour le moment à notre demande de droit de réponse (qui est pourtant une obligation), nous le publions ici.
Un collectif citoyen saisit le défenseur des droits sur l'affaire de l'occupation du lycée d'Arago et de la répression policière qui a suivi.
Vous pouvez rejoindre la liste en signant la pétition ci-dessous.
Dans un collège des Alpes-Maritimes, une professeure de musique a fait chanter à ses élèves un chant arabo-andalou et déclenché une vague d’insultes et menaces sur les réseaux sociaux à la suite de réactions de parents dont l’une des photos de profil ci-dessous montre l’étendue du désastre.
Je me lance aujourd’hui dans un exercice difficile dont je mesure tous les pièges. Je me lance également dans un texte dont je déteste par avance la posture : la mise au point contrainte et forcée par la tyrannie du jeu médiatique qui désigne à la vindicte publique sans la moindre précaution oratoire