En ce moment, à Paris, ville emblématique du vieux continent occidental, des millions de paires d'yeux, et de coeurs guettés par la transe émotionnelle, sont accaparés par la fête non moins emblématique du sport mondial.
Au XIIIème siècle et durant cinq siècles, sévit en la période de l'inquisition, décrétée par l'église de Rome pour combattre les âmes égarées et les contraindre à se convertir à la religion catholique.
Au sujet du plateau du Golan, et à la suite du massacre ignoble de douze jeunes israëliens par une roquette qu'aurait lancée le Hezbollah libanais, Macron assure à Netanyahu que la France est « pleinement engagée » pour « éviter une nouvelle escalade » au Moyen-Orient.
Les Jeux Olympiques de Paris 2024 sont prévus de se dérouler du 26 juillet au 8 septembre, en deux phases : pour les athlètes valides, jusqu'au 11 août, pour les athlètes paralympiques, à partir du 28 août.
Au moment où la classe politique en général préfère suivre le conseil de Macron, choisissant de regarder par la fenêtre le spectacle divertissant et oublieux des Jeux Olympiques, certains rares responsables politiques, à l'image de Josep Borrell, chef de la diplomatie de l’Union européenne, réaffirme la nécessité d'une solution politique rapide à la folie meurtrière d'Israël à Gaza.
« Il est temps que cette guerre prenne fin ».
C'est en ces termes que Kamala Harris, préssentie pour remplacer Biden au pied levé dans la course démocrate à la Maison Blanche, a jugé utile de qualifier la guerre israëlo-palestinienne en cours à Gaza depuis le 7 octobre 2023.