Macron va consulter la semaine prochaine les chefs de parti et de groupes parlementaires, avant de nommer dans la foulée un Premier Ministre ou un Première Ministre.
La déconfiture économique que connait l'homme d'affaire franco-israëlien Patrick Drahi, dont la myriade de sociétés, parmi lesquelles l'opérateur téléphonique SFR, cumulent pas moins de 55 milliards d'euro de dettes, rappelle une autre histoire, très actuelle elle aussi.
Les russes avaient installé, dès leur premier hiver chez les ukrainiens, une guerre défensive, matérialisée par plusieurs rangées de tranchées successives, sur les limites ouest et sud des territoires conquis.
Certaines forces politiques ont compris rapidement que le fait pour Macron de démissionner son gouvernement mi-juillet n'était que le fruit d'un calcul politique personnel.
L'article 8 de la Constitution française dispose que le Président de la République nomme le Premier ministre et qu'il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement.
Stéphane Séjourné, ministre des Affaires Étrangères, fraîchement débarqué comme ses collègues ministres du gouvernement à la suite de la déroute présidentielle aux législatives, ne se contente pas d'expédier les affaires courantes, comme l'exige la constitution en pareilles circonstances.
Chaque fois que des pourparlers de paix sérieux sont à l'oeuvre pour un cessez-le-feu définitif à Gaza, l'extrême droite israëlienne repasse à l'action.