Ce blog satirique s’inscrit dans la tradition de la presse libre et impertinente. Ici, l’actualité est passée au crible de l’ironie, les discours officiels sont démontés, et les puissants mis face à leurs1…
contradictions. Ni moralisateur ni partisan, ce lieu d’expression use de la satire comme d’un outil d’investigation — pour révéler, derrière les apparences, la comédie du pouvoir et les travers d’une société en dérive.
Sous prétexte d’un soutien familial, Louis Sarkozy orchestre une mascarade politique autour de l’incarcération de son père. Une mise en scène dégoulinante d’indécence.
Le vol spectaculaire du Louvre en octobre 2025 dépasse désormais les frontières et prend des airs d’intrigue internationale. Une société israélienne, CGI Group, dirigée par d’anciens hauts responsables du renseignement israélien, prétend avoir été sollicitée pour identifier les voleurs et restituer les joyaux dérobés.
Quasquara, petite Corse, 2025. Une croix en bois trône à l’entrée du village et voilà que la République, dans sa grande sagesse laïque, décide qu’un morceau de bois vaut mieux que l’histoire et la culture : il faut l’arracher.
Pendant que les éditorialistes s’étranglent d’indignation sur les plateaux télé, Nicolas Sarkozy, lui, découvre le vrai visage de la République qu’il a dirigée : celui d’une porte blindée qui claque et d’un gardien blasé qui lui dit d’enlever son pantalon. Fin de règne, fin du mythe. Ici, à la prison de la Santé, tout le monde est à poil même les anciens chefs d’État.
La République se soigne à coups de mensonges et d’indignations télévisées. Pendant qu’on nous joue la grande pièce de la « justice indépendante », les vrais malades sont à la manœuvre, et les cocus applaudissent depuis la salle d’attente.
Sous couvert de bienveillance et d’égalité, la circulaire EVRAS ouvre la voie à une intrusion inédite de l’État dans la sphère la plus intime : celle de l’enfance. L’école ne se contente plus d’instruire, elle s’invite désormais dans la couche-culotte, prétendant façonner les émotions, les sentiments et les repères des plus petits.
Je ne parle pas par rancune, mais par devoir. J’ai porté l’uniforme, j’ai cru à la devise, j’ai servi la République. Mais ce que je vois aujourd’hui me révolte. La police qui protégeait autrefois le peuple s’est peu à peu transformée en bras armé du pouvoir