Je suis podcaster, aspirant journaliste, je vous partage mes autisteries ! La différence est une force et non une maladie ! Je vous parlerai de beaucoup de sujets sans doute ici à la manière d’un billet1…
d’humeur. Mais sachez que j’aimerais que l’on parle plus du handicap et de l’accessibilité dans les médias.
Quand on regarde les chaînes infos, j’ai parfois l’impression qu’on nous met dans le brouillard à coups de milliards. Hier, le locataire de Matignon, voyant que la sauce béarnaise ne prenait plus, a sorti une nouvelle arme : sa disparition programmée dans un écran de fumée le 8 septembre. Mais avant de courir après l’invisible, ne pourrait-on pas s’occuper du visible : préserver la vie digne ?
Le 18 août dernier, Jean Pormanove, streamer de 46 ans, est mort pendant un live diffusé sur la plateforme Kick. Il s’est éteint devant plusieurs milliers de sans-âmes, dans une solitude que même Robinson n’aurait guère imaginée. La violence et les humiliations qu’il a subies, ainsi que le manque d’empathie des spectateurs, le tout sur des plateformes apathiques, en font un drame de notre temps.
Rencontrer Antoine de Maximy, c’était réaliser un rêve. Son regard sur le monde m’a ouvert au voyage et aidé à me construire. Au-delà du handicap ou de l’autisme, je me définis comme profondément humaniste. Ce qui nous fait grandir ? L’expérience de l’autre. L’authenticité. La rencontre.
Cette lettre/tribune s’adresse à tout groupe de presse, national ou local,
appliquant la Charte de déontologie de Munich de 1971,
et ayant à cœur de garantir plus d’inclusion au sein de leur équipe rédactionnelle.
À l’approche de la Fête des mères, je voulais publier un petit hommage à Maman. Je ne peux pas parler de mon parcours personnel et professionnel sans l’évoquer. Ce texte lui est dédié.
Je m’appelle Brian.
J’ai un handicap et je suis autiste.
Je veux travailler, mais c’est très difficile pour moi.
Dans cet article, je raconte mon combat pour exister, créer, et trouver ma place dans le monde du travail.
Je veux que chaque personne en difficulté soit respectée.
Je veux que tout le monde ait une chance, comme moi.
Dans le cadre de ma bataille pour l'emploi, je souhaite mettre en lumière la réalité de vouloir vivre d'un « métier passion » qu'il faut de toute façon ne jamais idéaliser. Je m'appelle Brian.
J'ai 34 ans, je suis journaliste autodidacte sans salaire.
Si j’en crois le nouveau secrétaire d’état américain à la santé, Robert Kennedy Jr, nous les personnes neuro divergentes ne serions pas en mesures de payer des impôts, de jouer au baseball, d’avoir un rencard amoureux où d’écrire un poème.