Depuis quelques temps, l'expression société civile est servie à toutes les sauces. Loin de n'être qu'un apparat, elle est selon moi le moyen pour le système établi de faire en sorte que tout change pour que rien ne change selon l'antienne bien connue.
Nous vivons en démocratie nous dit-on par ci à longueur de temps, les élus ont l'onction du suffrage universel rajoute-t-on par là, je crois au contraire que nous vivons dans une République régie par un système représentatif et non pas une démocratie.
Hier soir nous avons sans doute assisté au pire débat d'entre-deux tours de la Vème République. Bien des sujets importants n'ont pas été abordés (environnement et culture notamment). Parmi ceux-là, l'uberisation de la société tient une bonne place. Tentative de déconstruction du mythe qui voudrait que l'uberisation soit la modernité.
Alors que le FN et Marine Le Pen draguent ouvertement les électeurs de Jean-Luc Mélenchon, ce petit texte pour rappeler à quel point une présidence FN serait catastrophique.
Après la déception vient le moment de la réflexion et, je l'espère, de la convergence. Mettons de côté les querelles, parfois violentes, sur l'attitude à adopter le 7 mai et pensons l'avenir.
Après de nombreux mois d'hésitation, j'ai finalement décidé de voter pour L'avenir en commun et donc pour Jean-Luc Mélenchon. Ces quelques lignes pour expliquer les raisons de ce choix.
Depuis quelques temps, la campagne de Benoît Hamon patine. Cet état de fait n'est pas un hasard mais la résultante de son refus de rompre avec l'appareil du PS. C'est pourquoi je me permets de l'interpeller.
Depuis plusieurs semaines, certains médias font un parallèle entre les programmes de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen pour décrédibiliser le candidat de la France Insoumise. Quelques éléments pour remettre la vérité en place.