Attaché principal des administrations parisiennes / Chargé de mission "Promesse républicaine" (DDCT) / Chargé de TD en droit constitutionnel à Paris Nanterre / Fondateur & Responsable du pôle "vivre ensemble" du think tank "Le Jour d'Après" (JDA) / Président de l'association La Casa Nostra / Membre du club du XXIème siècle / Secrétaire-adjoint de l'association des rapporteurs.trices de la CNDA (Arc-en-ciel) / Fondateur du média "De facto" / Député de l'Etat de la diaspora africaine (SOAD)
Paris - France
À Gaza, la faim devient une arme, la farine une rareté, la survie un combat quotidien. Mehdi Allal tire la sonnette d’alarme face à une famine organisée, dénoncée par les plus grandes ONG humanitaires et qualifiée de crime de guerre par l’ONU. Dans un cri mêlant humanité, spiritualité et responsabilité politique, il en appelle à la levée immédiate des blocus, à un cessez-le-feu sans conditions.
Sous couvert de défendre les « droits des hommes », le masculinisme s’impose de plus en plus dans l’espace public comme une réaction virulente aux avancées féministes. Théorisant une supposée « crise de la masculinité », ses figures médiatiques, influentes sur les réseaux sociaux comme dans certains cercles politiques, s’érigent en victimes d’un renversement de normes qu’elles jugent castrateur.
Les généralités, bien qu’attrayantes par leur simplicité, sont souvent des pièges intellectuels et politiques. En opposant les « généralités » aux « particularités », cette tribune plaide pour un véritable droit à la différence, seul garant d’une société juste, nuancée et réellement démocratique.
A Myriam Encaoua et Eugénie Bastié...
Et si le misanthrope n’était pas un cynique, mais un amoureux déçu du genre humain ? Derrière le personnage d’Alceste et les figures solitaires de notre modernité, cette réflexion interroge la misanthropie non comme pathologie, mais comme lucidité critique face aux compromissions du monde.