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Le blog de messicafabienne

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On ne peut plus rien dire
Le débat sur l’humour est un serpent de mer. Peut-on rire de tout ? Pas avec tout le monde, répète -t-on à l’envie. Comme si on choisissait ses spectateurs ou ses lecteurs…Comme si rien dans la réception, ne nous échappait… -
Ne pas censurer ni « punir » Guillaume Meurice : le critiquer, oui.
Un nazi sans le prépuce, c’est une blague. Une blague qui sent le camembert. Un camembert qui a beaucoup voyagé. De là à en faire… -
Femme et juive : Simone Veil, cible des antisémites
Nul rapport avec le soutien pour le peuple palestinien quand on couvre d’injures une femme, Simone Veil, rescapée des camps de concentration qui a consacré sa vie à défendre la dignité humaine, -
La guerre, les femmes et les viols : on vous croit
La lutte contre le sexisme, les violences faites aux femmes, l’antisémitisme et les racismes ne souffre aucune exception, aucune exemption, y compris au sein de la gauche antiraciste et féministe. N'oublions pas ce que les corps des femmes exhibés, malmenés, torturés, violés ou anéantis sous les bombes et ceux des enfants, nous disent de cette guerre ente Israël et le Hamas. -
Le jour où n’étant pas Tutsi, je le suis devenue quand même
Notre histoire, notre mémoire sont jalonnées par le souvenir, parfois la confrontation, à l'inhumaine humanité de l'Homme. A chaque fois que nous disons de ces victimes civiles qui sont les armes de ces guerres qu'elles sont nous et que nous sommes elles, nous posons un acte politique, un acte de raison et de passion politique. -
Le jour où je me suis réveillée juive
Là-bas : la guerre entre le Hamas et Israël est impitoyable. Ses victimes par milliers sont des civils. Ses armes sont les civils qu’il s’agit de terroriser, de tuer en masse alors que la guerre au sens militaire, est vouée à l’échec. Guerre de peur, fantasme de faire disparaître l’autre, cauchemar du risque existentiel que deux peuples se renvoient en miroir. Deshumanisation. Et ici : guerre des mots, des symboles, confiscation de l’histoire, jouissance abjecte pour la mort. Garder des repères : comment ?