Journaliste scientifique, j'ai travaillé à Science et Vie, à L'Evénement du Jeudi, et au Nouvel Observateur (de 1990 à 2009). Je suis aussi auteur de plusieurs livres dont le dernier, Kaluchua, vient de paraître au Seuil. Sur twitter: @MicheldePrac.
Une nouvelle carte des concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère, d’une précision sans précédent, vient d’être établie par un satellite de la Nasa appelé OCO-2 (Orbiting carbon Observatory-2).
Une cour d’appel de New York a rejeté, le 4 décembre, le demande d’un groupe de défense des animaux, le NhRP – Nonhuman rights project ou Projet pour les droits non humains – qui visait à faire « libérer » un chimpanzé du nom de Tommy, qui vit en captivité chez des propriétaires privés à Gloversville, dans l’état de New York.
Cela peut paraître étonnant, mais le minéral le plus abondant de la planète n’avait pas de nom : on n’avait pas réussi à en trouver un échantillon naturel à la surface de la planète, bien que sa présence en grande quantité dans le manteau de la Terre ait été démontrée par de nombreuses expériences depuis des décennies.
Les éruptions volcaniques, mêmes mineures, qui se sont produites entre 2000 et 2013 pourraient avoir freiné de manière significative le réchauffement du climat planétaire, d’après une nouvelle étude parue dans la revue de l’Union américaine de géophysique (Geophysical Research Letters).
Cette intéressante question n’avait pas reçu jusqu’ici l’attention qu’elle méritait, si l’on en croit le biologiste Patrick Tschopp, de l’université Harvard. Cette équipe de chercheurs a étudié la formation des organes génitaux externes chez les animaux terrestres, reptiles, oiseaux et mammifères.
Longtemps, cet animal fossile a été le plus énigmatique des dinosaures. On n’en connaissait, pour l’essentiel, que deux bras géants, longs de 2,40 mètres, retrouvés dans le désert de Gobi en 1965 par une paléontologue polonaise, Zofia Kielan-Jaworowska. Les deux membres antérieurs, terminés par d’impressionnantes griffes, avaient été retrouvés avec leur ceinture scapulaire (les os qui relient le membre supérieur à la colonne vertébrale) et quelques vertèbres.
La forme du violon, mise au point par les luthiers italiens du XVIe siècle, a continué d’évoluer subtilement jusqu’à la période contemporaine. Comment s’est-elle transformée ? Les violons récents ressemblent-ils à ceux des grands artisans classiques ?