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Ollanta Humala: ¿Un político progresista latinoamericano?Publicado en Canarias-semanal.org el, Martes, 6 de agosto de 2013Este articulo es seguido del articulo de Gerald Lebrun al cual se réfiere. Usté no es ná,no es chicha ni limonáse lo pasa manoseando,caramba zamba, su dignidad Victor Jara Como muchos de nuestros lectores sabrán, Jean-Luc Mélenchon es el político francés que encabezó en las últimas elecciones celebradas en su país, la candidatura de "izquierdas" que aglutinó a las organizaciones políticas "Partido de Izquierda", "Izquierda Unitaria", Partido Comunista francés y a la “Federación para una alternativa social y ecológica”. La biografía de Mélenchon es sinuosa, tal y como suele suceder con las trayectorias políticas de los socialdemócratas vergonzantes. Es un católico que proviene del Partido socialista frances, en el que militó hasta los primeros años de la década del 2000. Llegó a ocupar la cartera de ministro de Educacion Profesional en el denominado “Gobierno de la cohabitación”, en el que coexistieron con paz y armonía el derechista Presidente Chirac y el socialdemócrata Lionel Jospin. Dicho entre nosotros y para no darle muchos rodeos al asunto: Jean-Luc Mélenchon coincide con la definición de un político que “ni chicha ni limoná”, como en España puede serlo Cayo Lara o Gaspar Llamazares. Sus aspiraciones son puramente electoralistas, que sueñan con recoger los restos del naufragio socialdemócrata para de esa forma instalarse con comodidad bajo las ubres del sistema. Entre sus expectativas no se encuentra, ni mucho menos, la posibilidad de transformar la sociedad ni de acabar con el sistema capitalista, sino en el mejor de los casos, proceder a la agilización de su funcionamiento, engrasando sus goznes más deteriorados.
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Tocopilla: “¿Cómo es posible que un imbécil haga encarcelar un alcalde?”Tocopilla se está convirtiendo en una ciudad-símbolo –como otrora Madrid lo fuera para la república española – y sus habitantes, como un solo hombre, liderados por su gran alcalde, Fernando San Román, siguen librando una batalla que representa el anhelo de justicia de las regiones de Chile pospuesta por un centralismo exacerbado, que viene de la dictadura pelucona de Diego Portales, como también del dominio de la aristocracia santiaguina sobre los provincianos. Chile tuvo, durante el siglo XIX dos guerras civiles, provocadas por la rebelión de las provincias de Concepción y de Coquimbo, cuyos líderes fueron el general Cruz y Pedro León Gallo, respectivamente.
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Communiqué du COMITÉ DE SOLIDARITÉ AVEC CAJAMARCA du vendredi 19 juillet 2013.LES DÉCLARATIONS DE JEAN-LUC MÉLENCHON SUR LE GOUVERNEMENT D’OLLANTA HUMALALe dimanche 14 juillet 2013, Jean-Luc Mélenchon, un des leaders du Parti de Gauche, était au Pérou où il s’est entretenu avec le président de la République péruvienne, Ollanta Humala. Cette visite cordiale d’une des figures de la gauche française a été relatée par Mr Mélenchon lui-même sur son blog et sur le site du Parti de Gauche. S’il fallait n’en retenir que quelques mots, elle se résumerait ainsi : « Ollanta Humala, le président du Pérou, fait vite et bien ce que le président d’un pays riche comme le nôtre se montre incapable de commencer ».Eloge du gouvernement péruvien d’un côté et critique au gouvernement français de l’autre, la manœuvre est simple et efficace. Problème : il semble que Mr Mélenchon ait été mal renseigné sur la politique menée par le président péruvien. Rappelons que « la création d’une retraite » évoquée par Mr Mélenchon est en fait un programme social « Pension 65 » - et non un système de retraite – qui, jusqu’à présent, n’est opérationnel que sur 5% du territoire et se trouve déjà entaché d’un scandale de corruption. La croissance n’est pas de six points mais de sept pour l’année 2012, largement soutenue par les exportations du secteur minier (60% des exportations nationales en 2012). Or, les principales régions d’extraction des matières premières coïncident encore et toujours aux régions les plus pauvres du pays (Cajamarca en est l’exemple).
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Publié par Alencontre le 2 - mai - 2013Hollande: Mouvement des jeunesses socialistesTextes et introduction pour une réflexionFrançois Hollande lors de sa visite à Dijon, les 11 et 12 mars 2013, pour tenter de «renouer le contact avec les Français», a reçu en plein front l’interrogation d’un syndicaliste: «Elles sont où vos promesses?» Le service d’ordre l’a prestement fait taire et l’a embarqué, sans ménagement. Le «plan com’» ne devait pas être bousculé. Or, de ce «nouveau concept de déplacement», il n’est resté que cela, en termes d’images! Plus qu’un symbole. La relative faiblesse des manifestations du 1er mai 2013 ne peut être détachée de cette expression de désarroi, produit «d’une attente vague, même sceptique», mais qui n’empêche pas un désappointement qui se mélange à une colère qui cherche ses modes d’expression.
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Entretien avec Marc Saint-Upery,propos recueillis par Charlotte Nordmann [*]et remarques de Marc Saint-Upéry"Si vous avez une trajectoire de confortable notable social-démocrate et que vous souhaitez vous réinventer en farouche tribun robespierro-guevariste, agiter la bannière bolivarienne est quand même assez pratique. Et puis, si Chávez est capable de déclarer que Kadhafi est un «Bolivar africain» et Assad un «humaniste socialiste» [4], pourquoi s’étonner que tel ou tel homme politique français soit assez naïf ou irresponsable pour voir dans le Venezuela un grand modèle d’alternative anticapitaliste? En réalité, quand bien même on aurait une appréciation ultra-positive du bilan de Chávez, le contexte de son action est tellement différent – manne pétrolière de type saoudien, faible différenciation productive, structure sociale inégalitaire à salariat formel peu développé, faible teneur républicaine des institutions – qu’il n’y a guère de leçons à en tirer pour affronter les graves défis auxquels est confrontée la gauche en Europe."
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Manifeste international en soutien à la candidature ouvrière d'Orlando Chirino à l'élection présidentielle de VenezuelaL'élection présidentielle aura lieu au Venezuela le 7 octobre 2012. Ils se présentent, d'une part, l'actuel président Hugo Chávez, du PSUV, et, d'autre part, Henrique Capriles, candidat de la MUD (Coalition de l'Unité démocratique), représentant des forces de la droite traditionnelle.Mais, encore que moins connue, il y a aussi une troisième option: c'est la candidature présidentielle du dirigeant ouvrier Orlando Chirino, au nom du PSL (Parti Socialisme et Liberté). Il s'agit d'une candidature qui lève l'étendard de l'indépendance politique des travailleurs, c'est-à-dire, sans des pactes ni des accords avec les patrons nationaux ou des étrangers, et au nom du véritable socialisme.
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Nous [Commission Éthique Contre la Torture - Chili ] nous adressons à vous en votre qualité de directrice exécutive de l'ONU Femmes (Entité des Nations Unies pour l'égalité des sexes et l'autonomie des femmes), dont le siège est à New York aux États-Unis, afin de vous alerter sur les graves violations des droits fondamentaux des femmes, des jeunes et des enfants, qui se produisent aujourd'hui au Chili, votre pays natal, où vous occupiez la plus haute investiture entre le 11 Mars 2006 et le 10 mars 2010.
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Ce dimanche 10 juin 2012, l’anachronisme politique dans lequel vit encore une minorité aisée de chiliens enrichis par les privatisations durant la dictature de Pinochet, les conduit à apparaître à nouveau et revendiquer la période dictatoriale 1973-1990, en organisant un hommage apologétique à Pinochet ( voir video, ci-dessus) dans le théâtre Caupolican de Santiago, cinq ans et demi après sa mort tranquille.
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Nous, les signataires ci-dessous des villages andins et amazoniens, des organisations populaires citadines et des organisations de travailleurs, exprimons notre vote de confiance et notre appui total à la candidature de notre frère Philippe Poutou.Alberto PIZANGO
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APPEL COLLECTIF DE MILITANTS LATINOAMERICAINS EN SOUTIEN A PHILIPPE POUTOULes prochaines élections présidentielles françaises nous concernent doublement, en tant que militants des luttes des peuples latino-américains et en tant qu’habitants de ce pays, engagés dans les luttes de sa classe ouvrière et de sa jeunesse.