l’État de M. Macron et ses apôtres qui se répandent sous diverses étiquettes (en une ambition fort commune) organisent l’Uberisation de la culture à grandes brassées d’argent public déversées « Au hasard Balthazar ».
Les réfugiés ont intérêt à s’accrocher aux barreaux des centres de rétention, l’industrie des victimes relocalise. Il pleut des subventions et chacun y va de ses malheurs et du bien commun revendiqué, l’Etat-providence sauve les actionnaires comme Dieu les âmes et il s’agit de ne pas rater la messe.
Pas mal se révèlent qui se disaient Charlie et ne sont qu’Airbus.
Depuis quelques temps (et le mouvement #Metoo) une phrase revient souvent retrouvée parmi des commentaires d’un très beau billet et qui concernerait « le cinéma français » et sa cérémonie des Césars (et à l’entour)…
Précis précieux pour que le jour d’après ressemble au jour d’avant dans les salles de cinéma et leurs débats.
Ne me remerciez pas, le plaisir de vous écouter est pour moi...
Chaque rapport cinématographique pourrait se conclure par l’épitaphe : « Alors, de quoi se plaint-on ? ».
À entendre le chapelet de doléances qui fleurissent de part et d’autre lors de réunions professionnelles (créateurs, distributeurs et exploitants réunis), un seul écho en forme de réponse : « À peu près de tout ».
Migré sur le net, « le monde de la culture » est souvent gratuit désormais (cf. Médiapart : La culture comme bien commun)… Byzance ! Démocratie sur ses 2 pattes ! La République égalélitaire pour tous !
Nous avons bien reçu votre proposition de stage d’été avec « les jeunes du quartier »… Comment dire… Nous recevons beaucoup de propositions de ce genre de nombreux étudiants fraîchement diplômés et qui n’ont pas encore l’expérience de la réalité du monde…