Les personnes réfugié-e-s d’Ukraine sont accueilli-e-s avec enthousiasme en Europe, avec le soutien des autorités de l’UE. Fort heureusement et tant mieux. Mais quid des personnes qui fuient la Russie et son régime actuel ? Au-delà des sanctions, l’accueil inconditionnel des réfugié-e-s russes ne serait-il pas à la fois un devoir humanitaire et un moyen supplémentaire contre l’invasion russe ?
L’Agence européenne des gardes-frontières et des gardes-côtes (Frontex), dont la Suisse est membre, a organisé des festivités à 2,1 millions d’euros pour son personnel entre 2015 et 2019.
Pour la droite, les personnes migrantes coûtent toujours trop cher. Mais quand elles veulent se former ou travailler, les portes se ferment. Des structures d’aides montent au front.
La multinationale zurichoise controversée ORS est spécialisée dans les prestations mêlant «encadrement» et «intégration» pour personnes en demande d’asile ou reconnues réfugiées, ainsi que dans la logistique des camps.
L'exécutif de la ville a approuvé un projet de carte d'identité urbaine. Demandée en 2018 par l'association Züri City Card, la carte vise à protéger les droits fondamentaux des sans-papiers, sur le modèle des mesures prises par les villes refuges aux États-Unis.