Après l'onde de choc mondiale provoquée par le meurtre de George Floyd à Minneapolis, manifestation contre le racisme et les violences policières du 3 juin 2020 à Montpellier. L'appel à se rassembler met en lien cet évènement tragique avec la mort d'Adama Traoré, survenue à la gendarmerie de Persan dans le Val-d'Oise en 2016 après une interpellation violente.
Depuis plusieurs jours le groupe Facebook de l’université Paul-Valéry est secoué par une vive polémique sur fond de changement du calendrier universitaire. Un débat tenu dans des conditions houleuses, une présidence faisant la sourde oreille et un syndicat étudiant agissant à l’encontre de ceux dont il est censé porter la voix ont fini d’aggraver la précarité des principaux intéressés.
La faculté Paul-Valéry (Montpellier) a fait le choix du passage des cours en semi-distanciel depuis le lundi 28 septembre. L’objectif est de réduire les effectifs présents, et donc les risques de contamination. Selon le numéro de carte d’étudiant, les élèves ne peuvent – en théorie – assister qu’à une semaine de cours sur deux. Enquête sur le réel, à rebours des discours officiels.
Après le succès de la manifestation du 2 juin devant le tribunal de Paris, le Comité Adama a lancé un nouvel appel à se rassembler le samedi 13 juin au départ de la Place de la République. Récit d'une journée symbolique de la montée en puissance d'un mouvement, agissant comme un miroir de la mobilisation américaine contre le racisme depuis le meurtre de George Floyd à Minneapolis.
À Montpellier, le premier week-end de déconfinement se place sous le signe de l'absurde : manifestation avortée des gilets jaunes, rassemblement d'extrême-droite sous le regard complaisant de la police locale et préparation de représailles par les commerçants, autant de faits qui ont le don d'interroger sur la suite des évènements. Retour sur ces quelques jours hors du réel.
« L’Etat devra permettre à chaque français de se procurer un masque grand public », telle fût l’annonce d’Emmanuel Macron lors de son allocution du 13 avril 2020. Depuis le 30 avril les bureaux de tabac ont donc reçu l’autorisation de vendre ce type de masque, accompagné d’un florilège de publications sur les réseaux sociaux, dénonçant la dangerosité potentielle de ces produits.
Depuis le début du confinement, la problématique de l’aide aux plus démunis ne semble pas faire partie des priorités gouvernementales. L’agglomération montpelliéraine ne fait pas figure d’exception : des bidonvilles du Zénith à ceux du Mas Rouge en passant par le squat de l’Uttopia, le panel est large, la demande d’assistance urgente. Retour sur le soutien initié le lundi 23 mars par la LDH.
Depuis le 5 décembre, début de la mobilisation contre la réforme des retraites, l'université était le théâtre d’un mouvement en demi-teinte. Régulièrement source de conflits entre étudiants, la participation n’était pas au rendez-vous : ambiance résignée, sur fond d’échec cuisant lors du passage en force de la loi ORE en 2018. Mais en cette journée du mois de mars, le temps est au réveil soudain.
Suite à l'occupation du centre commercial Italie II effectuée avec succès le samedi 5 octobre, Extinction Rébellion initie l'occupation de la place du Châtelet à Paris en appelant à la convergence des luttes. Avec ce témoignage, retour sur l'enchainement des faits qui mèneront à l'épilogue de cette action.