
Street Press
Journalisme
Montreuil - France
Sa biographie
StreetPress pratique un journalisme ouvert, conscient et engagé.
Au départ, il y avait une indignation. Ne pas voir notre monde, notre quotidien et nos colères dans les médias classiques. Après 10 ans d’existence, vous êtes 2,5 millions à lire nos articles et à visionner nos documentaires chaque mois.1…
Tout est accessible gratuitement, car on souhaite que toutes et tous, riches ou pauvres, puissent s’informer librement.
Il est toujours aussi urgent de raconter le monde tel qu’il est vraiment, pour sortir des flux d’infos en continu et de la caricature de nos vies. À StreetPress, on choisit nos sujets d’enquêtes pour ce qu’ils disent, pas pour le nombre de likes qu’ils produiront. Chaque reportage, chaque interview, construit l’identité du média.
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Le combat continue
Foule place de la République © Nnoman Cadoret
Jean-Marie Le Pen est mort, mais ses idées ne sont que trop vivantes. -
Sept procédures judiciaires contre le média d’enquête StreetPress
Parce que StreetPress fait de l’investigation, notre média est régulièrement attaqué en justice. Et même si nous gagnons nos procès, cela nous coûte (très) cher. -
Comment on finance un média indépendant ?
StreetPress un media a prix libre
StreetPress, c’est 15 journalistes et vidéastes, 600.000 euros de budget par an, pour produire nos enquêtes, nos documentaires, nos contenus sur les réseaux sociaux et nos newsletters. Mais comment on finance ce média indépendant ? -
Soirée en direct vidéo : comprendre et combattre l'extrême droite
Le média indépendant StreetPress vous propose une grande soirée consacrée à l'extrême droite. De 20h00 à minuit, journalistes, chercheurs, politiques et militants vont décrypter la montée des candidats et des discours haineux. Retrouvez le live sur cette page. -
L’antitziganisme, un mal français
En 2006, un groupe de voyageurs s’installe dans une commune située pas très loin du coin où j’ai grandi. Les caravanes se sont posées sur un terrain municipal. Comment faire autrement quand les aires d’accueil se font rares ? Les riverains grognent et le sang du maire UMP ne fait qu’un tour. Il appelle les gendarmes. Sous les yeux de fonctionnaires impassibles, l’élu arrose le camp d’essence...