En Italie seulement 47% des femmes travaillent, elles sont très peu à occuper des postes importants, les médias diffusent souvent une image stéréotypé de leur corps, le droit à l'avortement et l'accès à la procréation assistée sont sans cesse remis en question.
La « mafia-mania » a bel et bien fait son apparition sur la toile. Le groupe dédié à Totò Riina, le boss de Cosa Nostra incarcéré près de Milan, fait des émules sur Facebook et totalise 5500 fans.
La polémique sur le fichage des Roms n’est pas encore éteinte que déjà c’est au tour des SDF de faire les frais de la politique discriminatoire du gouvernement italien.
Cette fois-ci les déchets napolitains n’y sont pour rien. Les vaches qui produisent le lait pour la fabrication des fromages Galbani n’ont pas brouté de sacs plastiques, en théorie.
Le G4 du week-end – les quatre membres européens du G8 – devait renforcer la collaboration entre les états communautaires face à la crise financière. Cette rencontre s’est limitée à des déclarations de garantie de la solidité et de la stabilité su système financier. On n’en espérait pas moins.
Gomorra, le livre de Roberto Saviano, s’est vendu à 1 200 000 exemplaires en Italie. Le film éponyme de Matteo Garrone a totalisé 1 800 000 euros de recettes une semaine après sa sortie en Italie. Depuis 1979, la Camorra a fait 3 700 victimes. Roberto Saviano, dans son discours à Casal di Principe le 17 septembre 2007, a rappellé que l’organisation mafieuse napolitaine avait fait plus de victimes que l’Ira, l’ETA ou les Brigades Rouges.