12 juillet, 15 septembre, 15 octobre, 18 décembre, 15 janvier… la pression ne cesse de s’accroître sur les non-vaccinés. Plus globalement, c’est tout le narratif de la peur et de la dualité qui paraît triompher, porté par les locataires du pouvoir, ces derniers emmenant à leur suite l'ensemble du corps social. Que dit en filigrane ce narratif ? Et peut-il être dépassé ?
C'est l'hallali des médias mainstream du lundi 11 octobre : une étude - mass data évidemment - établirait que le vaccin protège à 90% des formes graves du Covid. Contre 99,94 % de protection naturelle ? C'est une blague ?
"Et les hôpitaux engorgés ?!" C'est l'argument ultime opposé par les covidistes aux... acovidistes. Deux erreurs fondamentales et persistantes de l'exécutif expliquent cet engorgement : d'une part, l'interdiction des traitements et l'invalidation du rôle des médecins de proximité ; d'autre part, l'entretien d'une spirale de peur et de psychose collective.
Le message d'E. Macron du 12 juillet fracture le pays et le plonge dans une dictature sanitaire qui ébranle les fondements du vivre-ensemble républicain. Au-delà de la question sanitaire, c'est le mode même de développement de l'Occident qui semble être en cause. Comment en est-on arrivé là ? Que faire ?
Ils ont réussi ! L'Assemblée nationale a voté mardi 11 mai le principe du pass sanitaire, institutionnalisant la vaccination et le test. Big Pharma parvient ainsi à la suprême stratégie de l'entonnoir "vaccin ou test" et du produit obligatoire, graal économique.
Petite synthèse sur l'oligarchie mondiale et sur les conditions d'une alternative. L'approche vise ici à remonter à la racine de l'"hubris", de ce qui détermine quelques hommes à vouloir étendre leur pouvoir à l'infini. Et à partir de là, de voir si un remède existe.
On ne peut comprendre les six semaines de combats intenses qui viennent de se dérouler au Haut-Karabakh sans la perspective historique. Le récit d’Aurora Mardiganian, Apocalypse Arménie, l’éclaire singulièrement.
Si amère soit la défaite du 10 novembre, celle-ci peut être l'occasion d'un changement de paradigme pour l'Arménie. La défaite ne doit pas invalider le point de bascule et la renaissance que la victoire de 1994 avait inaugurée. C'est au contraire l'occasion de l'ancrer plus profondément.
Il y a un vrai piège dans l'approche "pour ou contre", qui hystérise une dualité peu constructive et socialement destructrice. S'abstraire du brouhaha et se faire sa propre opinion devient vital. Dans cette optique, une chose au moins paraît flagrante et "faire consensus", c'est que Big Pharma est nu.