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Les confidences de parents d'autistes

Chien qui aboie ne mord pas (et la caravane passe).
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À propos du blog
Dans "parents d'autistes" le sous-entendu (ou la "confidence") est: "autistes nous-mêmes", ce qui est une manière de rendre hommage à notre fils sans lequel nos TSA (Troubles du Spectre Autistique) seraient1 demeurés inconnus de nous-mêmes.
  • Preuves d'amour.

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    Qu'est ce que l'amour? Après avoir lu les avis de centaines d'auteurs, la meilleure définition pour moi est celle proposée par Jacques Lacan: "L'amour c'est donner ce que l'on n'a pas à quelqu'un qui n'en veut pas."
  • Réformer, ou abolir, l'ordre des médecins?

    Par | 3 commentaires | 3 recommandés
    L'ordre des médecins est une institution qu'il conviendrait de réformer en profondeur, voire d'abolir. Le récent rapport de la cour de comptes le démontre amplement: https://www.ccomptes.fr/fr/publications/lordre-des-medecins.
  • Un peuple corrompu n'est pas fait pour la liberté, et ne l'obtiendra jamais.

    Par | 3 commentaires | 3 recommandés
    Des "blogueurs" citent parfois cette phrase, qui aurait été écrite par Georges Orwell: "un peuple qui élit des corrompus, des imposteurs, des voleurs et des traîtres n'est pas victime; il est complice".
  • A propos d'une relation malsaine (le mal versus le bien).

    Par | 1 commentaire | 2 recommandés
    Le témoignage d'Adèle Haenel sur Médiapart est passionnant. Il illustre peut-être cette maxime de La Rochefoucauld: "il n'y a guère d'homme assez habile pour connaître tout le mal qu'il fait". On pense aussi à Publilius Syrus: "Malus bonum ubi se simulat, tunc est pessimus." / "A bad man, when he pretends to be a good man, is the worst man of all."
  • Le conseil national de l’Ordre des médecin sanctionnera-t-il le Docteur Buzyn?

    Par | 2 commentaires | 5 recommandés
    Les médecins seront-il ils contraints, à l'avenir, de refuser de soigner les malades immigrés et pauvres, contrevenant ainsi à leur propre code de déontologie ? Si tel devait être le cas, le Conseil national de l’Ordre des médecins, garant de la déontologie professionnelle, aurait théoriquement la possibilité de sanctionner la ministre elle-même, docteure en médecine.