Enquête exclusive : Emmanuel Macron n'aurait jamais cessé de travailler pour la banque Rothschild depuis 2012.
"Banquier le jour, Président la nuit (ou l’inverse)"
#RothschildGate
Ce qui est en jeu ici, ce n’est pas seulement le destin de quelques milliers d’enfants. C’est le visage même d’une société. Une société qui tolère que des mineurs (parmi les plus vulnérables) soient maltraités sous sa responsabilité, qui détourne le regard quand l’État devient le premier pourvoyeur d’instabilité, de précarité, de souffrance.
En France, on parle en ce moment des aides publiques versées aux entreprises.
Officiellement : 211 milliards d’euros par an (source : Sénat).
Mais si l’on ajoute ce qu’elles ne paient pas et que nous payons à leur place, ce qu'elles laissent à notre charge (pollution, précarité, santé, inégalités…) ?
Alors que le Gouvernement est dans la préparation du projet de loi de finances 2026, et de son pendant pour la sécurité sociale (PLFSS), les organisations patronales alertent sur la hausse croissante des arrêts maladie, en particulier chez les jeunes. L’instauration de jours de carence non indemnisés par la Sécu constitue, selon elles, une priorité.
Du coup c'est plutôt malin, le monarque français montre l'exemple de ce que pourrait être en France la sobriété heureuse en hommage à Pierre Rabhi.
(au menu, low tech et légumes du jardin)
Amélie de Montchalin est :
Une fille de la bourgeoisie catholique technocratique lyonnaise.
Une technocrate libérale, au parcours élitiste (HEC, Harvard).
Une politicienne managériale, marquée par la culture du chiffre, de la réforme, et de la performance publique.
Une incarnation du macronisme : ni de gauche, ni de gauche, mais toujours pro-entreprises et pro-UE.
Agnès Verdier Molinier, assistante de communication du réseau communautaire d'entrisme libertarien "Atlas" s'attaque aux minimas sociaux. Pour lui témoigner notre gratitude je vous propose un grand jeu visant à stimuler vos capacités cognitives : chercher des anagrammes avec les 20 lettres de ses noms et prénoms.
Dérapage des comptes publics. Explosion de la dette. Absence de budget. Jamais les finances publiques, même dans leurs dimensions techniques, n’ont été à ce point à l’ordre du jour et présentes à l’esprit des citoyens contribuables. ECALLE distille par petites touches et avec bonhommie les grands refrains de la droite...