In France, The Republicans party is trying to ban trans healthcare. Based upon laws of Replublican Party in the US, it repeats a pattern institutionalized by Nazis.
And no, that is not Godwin law. We can compare it.
The goal of this article is to analyze this pattern before The Republicans' bill enters into a debate in French National Assembly
Opposed to autonomy, the UK’s Supreme Court ruled on the erasure of trans people in the legal sense on April 16. The UK Scientific Community (and beyond) decided to challenge the UK authorities on May 2. The denial of the existence of trans people by the British state is an extremely serious setback.
Opposée à l'autonomie, la Cour Suprême du Royaume-Uni a acté l'effacement des personnes trans au sens légal le 16 avril dernier. La Communauté scientifique britannique (et au-delà) a décidé d'interpeller les autorités britanniques le 2 mai dernier. La négation de l'existence des personnes trans par l'État britannique est un recul extrêmement grave.
Il aura cassé la tête (penn) de nombreuses personnes pendant des décennies de politique. Le Chef (Penn) de la famille bretonne la plus ultranationaliste de France est parti.
Si sa mort peut paraître un soulagement pour les femmes, les personnes racisées, précaires, handis, LGBT+, les minorités linguistiques, culturelles..., elle ne signifie pas la fin des menaces qui pèsent sur elles.
According to the French sociologist Arnaud Alessandrin, 'the transidentities term, wich appeared in Germany at the begining of the 20th century, refers to a set of practices for identifying with a different gender than that assigned at birth. The definition of transidentities is at the crossroads of medical discourse, legal prescriptions and social practices'.
Le terme « transgenrisme » est péjoratif, il vise à nier la transitude (fait d'être trans). Son nom varie suivant les activistes anti-trans et les périodes. Sa définition est imprécise. Les prétendus responsables ne sont pas les mêmes suivant les arguments.
C'est une chimère, au même titre que la « théorie du genre », digne des théories du complot parlant de « wokisme » ou de « lobby LGBT ».
La communauté homo a une consommation de drogues (médicaments, tabac, alcool et autres produits légaux comme illégaux) plus importante que la moyenne. Elle a historiquement été la bouc-émissaire de politiques anti-drogues. L'une des causes est l'homophobie. Si la drogue peut avoir un effet positif, la précarisation économique, sanitaire et communautaire sont parmi les causes et effets de la prise.
On assiste aujourd'hui à une polarisation du débat sur les questions trans. Les soins d'affirmation de genre en sont le cœur. On remarque que deux modèles s'affrontent. Tous deux institutionnalisés dans la première moitié du 20e siècle. Le premier est scientifique, mais le second relève de l'obscurantisme transphobe.
Début 2023, Donald Trump dévoilait par vidéo son plan d'action contre les soins d'affirmation de genre pour les mineures et mineurs. Une de ses priorités.
La vidéo est de nouveau relayée depuis sa réélection.
Mêlant mensonges, pseudohistoire et théories du complot, la promesse d'application du schéma obscurantiste transphobe sur tout le pays est inquiétante.
À toi l'homophobe qui n'a d'obsession que pour notre vie sexuelle ou romantique.
À toi le transphobe qui veut tuer des mineures et des mineurs trans.
À toi le queerphobe qui ne supporte pas que l'on ait des droits.