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Le blog de ABDELILAH NAJMI

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Le droit international est-il une farce ?
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Un réquisitoire cauchemardesque : portrait de l'artiste angélique en statue de sel fondante
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Faut-il craindre le pire ? Appel aux consciences juives pour qui la dignité juive n'est pas un appel au crime
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Gaza : nulle part sur terre, nul vocable intelligible
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La mission de civilisation comme acheminement sincère et inéluctable vers la barbarie à son stade extrême
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Gaza : un labyrinthe kafkaïen où l'intelligence perd son latin, mais où survit l'unique espérance de l'espéranto onusien ?
A mesure que le conflit s'éternise en Palestine, les esprits s'échauffent et mille combinaisons de paix se croisent, dans ce qu'on appelle l'opinion publique, pour échafauder le même système ingénieux et croulant, la même utopie de fortune, censée gagner du temps pour les uns, rouvrir le dialogue interrompu pour les autres, arrêter provisoirement pour tous un désordre intolérable, qu'on sait presque sans fin. -
Seul de son espèce, le Palestinien fier et incorrigible
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Le démon de Gaza terrassé par l'Archange Néolibéral
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Permis de tuer : Lumières et Sang d'un blanc seing obscurantiste consciencieusement globalisé...
Grâce aux démêlés de Pascal Boniface avec le parti socialiste (son propre parti) et avec les éditeurs, grâce à beaucoup de faits semblables, il devient évident que la liberté de penser, de s'exprimer, est sujette à un blocus qui laisse aux mortels un périmètre de survie rétréci avec soin, mais cerné et menacé à terme de disparition. Les médias assurent le travail pénible mais indispensable qui fait de l'opinion publique un Gaza universel. -
En attendant la maturité des fruits onusiens hors sol...
Aucun argument puisé dans le stock juridique international ou dans les valeurs de l'Occident humaniste ne semble devoir convaincre un jour (sans les atermoiements désespérants et les restrictions discrétionnaires, sans les trahisons d'usage) ni les grandes puissances, ni les instances internationales, en faveur du peuple palestinien.