Blog suivi par 14 abonnés

l'Iran sera libre

  • Le Guide suprême met la main sur les richesses de la plus grande fondation de l'Iran

    Par
    Ali Khamenei, le Guide suprême du régime iranien, vient de prendre le contrôle total de l’une des plus riches fondations religieuses en nommant le mollah Ebrahim Raïssi, actuel procureur général, à la tête de la plus puissante fondation religieuse, celle d'« Astané Ghods Razavi ».
  • Iran - Rohani a l’intention de poursuivre le programme de missiles balistiques iraniens

    Par
    "Le programme de missiles balistiques ne s'arrêtera pas, quelles que soient les circonstances", a déclaré le général Hajizadeh, commandant de la division aérospatiale des Pasdaran, jeudi 10 mars. Cette violation de la résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies n'est pas seulement soutenu par les Gardiens de la Révolution mais aussi de l'approbation d'Hassan Rohani.
  • Iran : Élection ou sélection ?

    Par
    Le 26 février, deux « élections » auront lieu en Iran simultanément : pour 290 sièges de « Assemblée consultative islamique » (Majlis ou Parlement) et pour 88 membres de l'Assemblée des Experts, qui est nominalement chargée de choisir le Guide suprême après le décès de l’actuel et de superviser sa conduite. Le clan du Guide suprême a été largement favorisé au détriment de l’autre clan.
  • Rohani est tout autant impliqué dans le massacre du peuple syrien que le Guide Suprême iranien

    Par | 1 commentaire
    Lors de sa récente visite à Damas, Abdolreza Rahmani Fazli, le ministre de l’intérieur du gouvernement d’Hassan Rohani, a apporté le soutien affirmé du président des mollahs à Bachar el-Assad et son régime. Une preuve de plus qu'Hassan Rohani est aussi impliqué en Syrie que le Guide suprême Ali Khameneï.
  • L’irrésistible échec du régime iranien en Syrie et hors-jeu du général Souleimani

    Par | 5 commentaires | 1 recommandé
    Les pertes innombrables des gardiens de la révolution en Syrie et l'hospitalisation du commandant de la Force extérieure des Pasdaran témoignent de l’échec irrésistible de la stratégie déployée par Téhéran pour sauver Bachar Assad.
  • Iran-Syrie : Hamedani, le plus haut gradé des gardiens de la révolution, tué à Alep en Syrie

    Par | 2 commentaires | 2 recommandés
    Le brigadier Général Hossein Hamedani, plus haut gradé des gardiens de la révolution en Syrie est tué à Alep.Le corps des gardiens de la révolution (Pasdaran) a annoncé vendredi la mort en Syrie du Brigadier général Hossein Hamedani. Ce plus haut commandant des pasdaran en Syrie a été tué jeudi 8 octobre dans la région d’Alep, alors qu’il était en mission.Le général Ramezan Sharif, porte-parole des Gardiens de la révolution, a reconnu que Hamedani avait été "ces quatre dernières années l'un des conseillers militaires les plus influents ayant joué un rôle déterminant" en Syrie.En réalité le rôle de Hamedani était plus qu’un conseiller. Il était l’adjoint pour la Syrie et le Liban du général Ghassem Souleimani, chef de la force Qods, chargée des opérations extérieures des Gardiens de la révolution.
  • Iran-Moyen-Orient - La fragilité du régime iranien

    Par | 3 recommandés
    Je viens de mettre cet article à la disposition de tous pour inviter à réfléchir sur le véritable rapport de force dans la région, surtout en ce qui concerne l'Iran des mollahs. Ceci est d'autant plus d'actualité que les rumeurs grandissent sur l'intensification de l'ingérence iranienne en Syrie. Quel est l’état actuel du régime iranien ? Est-il vraiment devenu plus stable en obtenant une certaine reconnaissance diplomatique internationale, ou est-il au contraire devenu plus fragile ?Pour répondre à cette question, il faut évaluer le régime sur ses piliers. Depuis sa création la prétendue « république » islamique s’est préservée en se fondant sur la répression intérieure et sur l’exportation de la révolution - sous-entendu le fondamentalisme islamique - à l’extérieur. Le projet d’acquisition de l’arme atomique au coût faramineux et aux conséquences économiques graves devait venir asseoir l’influence du régime dans le rapport de force régional et international. Ce projet vient d’encaisser un coup dur suite à l’accord nucléaire avec les P5+1.
  • La responsabilité de l’Iran dans le drame des migrants syriens

    Par | 4 commentaires | 5 recommandés
    La guerre en Syrie apporte chaque jour son lot de drames et son flot de réfugiés qui fuient le carnage et la dévastation. Si l'inaction de la communauté internationale a été déplorée lors des attaques à l'arme chimique de Bachar Assad contre sa population, c’est le renoncement à contrer l’Iran, principal allié du régime syrien, qui est la faute la plus grave.Il n’est pas inutile de rappeler que la rebuffade américaine, malgré la violation par Assad de la ligne rouge du recours à l’arme chimique en 2013, fut influencée par la proposition de négociation sur le programme nucléaire iranien. L’inaction américaine en Syrie fut un préalable marchandé par l’Iran des mollahs. Le guide suprême iranien sauvait ainsi son allié d’un effondrement certain. Sans l’Iran des mollahs, le régime syrien n’aurait pas survécu aux premières années de l’insurrection.
  • Iran-nucléaire : Que se passe-t-il sur le site militaire de Parchine ?

    Par | 1 recommandé
    Depuis l’annonce de l’accord entre les 5+1 (Grande-Bretagne, France, Allemagne, Russie, Chine et Etats-Unis) et la théocratie iranienne à Vienne, tandis que des efforts se multiplient pour apaiser les esprits et rassurer les opposants au texte, le site de Parchine vient troubler la sérénité tant souhaitée par l’administration américaine.Rappelons-nous qu’en juillet dernier, un accord a été conclu à Vienne pour garantir l’absence de débouchés militaires du programme nucléaire iranien, en échange d'une levée progressive des sanctions internationales.A peine entériné par le Conseil de sécurité de l’ONU, voilà de nouveaux bâtons jetés dans les roues du processus : des travaux dans le site militaire de Parchine, au sud-est de Téhéran. Les autorités iraniennes auraient cherché à nettoyer ce secteur ultra sensible de toute trace de ses recherches sur les armes nucléaires avant les prochaines inspections internationales.
  • Négociations avec le régime iranien, c’est la méfiance qui règne

    Par
    Le négociateur du régime iranien Abbas Araghchi a estimé samedi, en quittant Vienne après des pourparlers avec ses interlocuteurs des pays du groupe5+1 ((Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie, Chine et Allemagne). Il a avoué qu’il n'y avait plus de confiance entre Téhéran et les grandes puissances : "Notre base de travail est la méfiance, voilà la réalité" a-t-il dit aux journalistes. "Nous ne faisons pas confiance à l'autre partie, pas plus qu'ils ne nous font confiance", a-t-il insisté.Le rythme de levée des sanctions économiques imposées à l'Iran en raison de son programme nucléaire suspect est un sujet de controverse. Téhéran réclame une levée immédiate, mais les Occidentaux voudraient ne les lever qu'au fur et à mesure que Téhéran applique l'accord, voire les rétablir en cas de violation.