Je pleintube de trop à toujours déconner. La poudreuse c´est vrai peut cacher la crevasse, mais piste n´a jamais empêché l´avalanche. Et le soleil sur les flocons non abîmés?!…
L´atmosphère, ici, rend le joint coupable. D´adultère. Les souvenirs sont en position d´obstruction à la vie. L´amour filial est sur la partoch´culpabilisation. Les pleurs sont de rigueur. Inconsciente. Fallait s´y attendre et je m´y attendais.
Ici c´est le nuage Cumulus des exilés de Fahrenheit 451. Si je pleure il va pleuvoir. Les courants d´air filent des rhumes. D´autres fois ils rafraîchissent, suivant comment l´on est disposé à les recevoir. Il a un nom de clown Bouchon, et hier il arrivait d´Espagne. Des images à s´allonger par terre. Chez lui Baddock a un lit.
Vous vous souvenez de la dame qui venait de se faire tirer son ventilateur bleu un jour de canicule extrémiste ? (Voir: “Canicule et Gilets jaunes même combat“ du 25/07). Maintenant elle s’est équipée d’un joli éventail, décoré d’une scène de tauromachie.
Jeune homme laid, sans emploi, malhonnête et infidèle, cherche femme belle, situation stable et bien rémunérée, honnête, bonne mère et bonne ménagère, aimant le foyer. Indiscrétion assurée.